Un parachutiste très expérimenté de 33 ans, qui comptait plusieurs milliers de sauts à son actif, est mort jeudi après-midi, à l'atterrissage sur l'aérodrome de Pamiers-les Pujols, dans l'Ariège. Il s'agit du directeur technique du club de parachutisme de Pamiers-les-Pujols qui effectuait un saut de loisir, d'une altitude de 4000 mètres, selon les premiers éléments de l'enquête. "Le saut s'était passé normalement, la voile s'était ouverte comme prévu" à une hauteur de 1000 mètres, a expliqué le lieutenant-colonel Didier Marcailhou, directeur des pompiers de l'Ariège.
Mais le parachutiste "est arrivé trop vite (à terre, ndlr), a raté son atterrissage et est décédé sur le coup", a-t-il ajouté. "C'était quelqu'un de très expérimenté, il a sauté avec du matériel de pointe quasi neuf, on ne comprend pas ce qui s'est passé", a commenté le trésorier et ancien directeur technique du para-club, Claude Séguéla. L'aérodrome est situé sur les communes des Pujols et de Verniolle, à quelques kilomètres de Pamiers. Son club de parachutisme est l'un des plus importants de France, avec 1500 adhérents et 30.000 sauts par an. Le parachutiste portait sur son casque une petite caméra qui a été saisie par les enquêteurs.
Mais le parachutiste "est arrivé trop vite (à terre, ndlr), a raté son atterrissage et est décédé sur le coup", a-t-il ajouté. "C'était quelqu'un de très expérimenté, il a sauté avec du matériel de pointe quasi neuf, on ne comprend pas ce qui s'est passé", a commenté le trésorier et ancien directeur technique du para-club, Claude Séguéla. L'aérodrome est situé sur les communes des Pujols et de Verniolle, à quelques kilomètres de Pamiers. Son club de parachutisme est l'un des plus importants de France, avec 1500 adhérents et 30.000 sauts par an. Le parachutiste portait sur son casque une petite caméra qui a été saisie par les enquêteurs.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire