vendredi 31 janvier 2014

Alpes: un skieur meurt dans une avalanche

Un skieur d'une quarantaine d'années est mort aujourd'hui emporté par une avalanche dans le massif de Belledonne, en Isère, a révélé aujourd'hui la CRS Alpes, unité de police spécialisée dans les secours en montagne.

L'homme a été emporté sur 600 mètres vers 16H00 alors qu'il entamait la descente du Grand Colon (2.394 m), situé sur la commune de Revel, près de Grenoble.

Sa compagne a réussi à le repérer grâce à son détecteur de victimes d'avalanches et à lui dégager la tête enfouie sous un peu moins d'un mètre de neige.

Les secouristes arrivés sur place en hélicoptère ont tenté, en vain, de réanimer la victime qui était en arrêt cardio-respiratoire.
Le risque d'avalanche était vendredi après-midi de niveau 3 (marqué) sur une échelle de 1 à 5 dans le massif de Belledonne au-dessus de 2.000 mètres d'altitude, selon Météo-France.

Les avalanches ont fait 13 morts dans l'Hexagone depuis le début de l'hiver, selon un décompte de l'AFP. L'hiver dernier, 36 personnes avaient trouvé la mort dans des avalanches


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/01/31/97001-20140131FILWWW00306-alpes-un-skieur-meurt-dans-une-avalanche.php

La Couarde-sur-Mer (17) : un homme âgé de 20 ans tué lors d'un accident de voiture

L'enquête de la gendarmerie est en cours afin de déterminer dans quelles circonstances et à quelle heure, un automobiliste âgé de 20 ans, domicilié à Loix dans l'île de Ré, a trouvé la mort, à la suite d'une perte de contrôle de son véhicule, sur la départementale 102.
Cette route traverse les marais en direction de Loix. La voiture est tombée dans l'eau. Les pompiers ont été avertis de cette présence peu avant 8 heures.
Lors de la reconnaissance engagée, un plongeur du centre de secours principal de La Rochelle a constaté la présence d'un corps dans la voiture. Les secours locaux et une équipe du Smur de la Rochelle ont constaté le décès du conducteur.

http://www.sudouest.fr/2014/01/31/la-couarde-sur-mer-17-un-homme-age-de-20-ans-tue-lors-d-un-accident-de-voiture-1447446-1379.php

Suicide d'une cadre de La Poste

Une cadre de la Poste s'est suicidée par pendaison sur son lieu de travail à Noisy-le-Grand, en Seine-Saint-Denis, où son corps a été retrouvé hier, selon une source syndicale et  la direction du groupe.

"Nous venons d'apprendre qu'une postière, cadre supérieure de Coliposte (l'opérateur colis du groupe, ndlr) en fonction à Noisy-le-Grand, a mis fin à ses jours sur son lieu de travail", a indiqué FO dans un communiqué. "C'est avec une profonde émotion que la Poste a appris hier le décès brutal d'une collaboratrice, cadre de son activité colis", a indiqué de son côté le groupe.

"La Poste a immédiatement pris contact avec sa famille, établi un dispositif d'écoute et de soutien psychologique auprès de ses collègues et s'est mise à la disposition des autorités policières. Un CHSCT extraordinaire se tient actuellement", a ajouté l'entreprise.
La femme, quinquagénaire, a été retrouvée pendue dans une partie non occupée du bâtiment. Thierry Roux, responsable syndical FO chez Coliposte a indiqué que le moment précis où a eu lieu le drame reste inconnu, car la cadre "a été vue à son travail mercredi soir, donc a priori c'est entre mercredi soir et jeudi après-midi, où on a retrouvé le corps".

Selon le syndicaliste, outre le CHSCT extraordinaire qui était en cours ce matin, une enquête de police a aussi été lancée. Pour Thierry Roux, ce drame soulève "beaucoup d'interrogations", notamment sur le lien éventuel avec le travail. Sans tirer de conclusions hâtives et soulignant que "ce n'est pas forcément lié", il relève que lors de la présentation mardi du plan stratégique à l'horizon 2020, La Poste a annoncé que Coliposte serait désormais rattaché au courrier et non plus une entité distincte, ce qui pose "question sur les services support, sur l'encadrement".


http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2014/01/31/97002-20140131FILWWW00132-suicide-d-une-cadre-de-la-poste.php

Collision tragique à Brassac : pris d'un malaise, le septuagénaire perd la vie au volant

Le Tarn-et-Garonne a comptabilisé hier son deuxième mort sur les routes depuis le début de l’année 2014. Un septuagénaire habitant Bourg-de-Visa a, en effet, perdu la vie, hier en milieu de matinée à Brassac, alors qu’il circulait au volant de sa Renault Mégane sur la route départementale 7.
Ce n’est pas peu dire que la chance ne poursuivait pas Abdeslem L’Housny en ce jeudi 30 janvier. Il était aux environs de 10h30, lorsque ce retraité de 79 ans cheminait tranquillement sur la RD7 en direction de Bourg-de-Visa, à hauteur du lieu dit Gueyraud. Il aurait alors été pris d’un malaise. Son auto a, en effet, subitement traversé la chaussée.
Sur un axe de communication très peu fréquenté à cette heure de la journée, le véhicule aurait pu terminer sa route au fossé. La Renault Mégane a, toutefois, eu le malheur d’aller percuter de plein fouet un véhicule Ford Kuga qui arrivait en sens inverse. «Le choc a été assez violent, au point que le torse du septuagénaire a plié le volant. Le conducteur de la Mégane a vraisemblablement fait un malaise puisque le couple qui se trouvait dans la Ford arrivant de face n’a pas vu son visage, il paraissait tête baissée», témoignait un secouriste présent sur les lieux du drame.

Un couple du Lot-et-Garonne transporté à l'hôpital de Villeneuve

Originaires du Lot-et-Garonne, le conducteur de la Ford, un homme de 63 ans, et sa passagère avant, une femme de 61 ans, paraissaient, pour leur part, davantage choqués que blessés. Ils ont tout de même été pris en charge par deux ambulances des pompiers afin d’être acheminés au centre hospitalier de Villeneuve-sur-Lot pour des examens de contrôle.
C’est sous les ordres du lieutenant Badoc de Lauzerte que trois VSAB des sapeurs-pompiers de Montaigu-de-Quercy, Moissac et Valence-d’Agen, se sont rendus sur place pour porter secours aux victimes, ainsi qu’un VSR de désincarcération des pompiers de Lauzerte. Une équipe du SAMU de Moissac était aussi présente.
La gendarmerie nationale était également bien représentée avec des femmes et hommes des brigades de Montaigu-de-Quercy et Lauzerte, ainsi que des représentants de l’escadron départemental de sécurité routière, qui, sous le regard du lieutenant Rémy Ruiz, commandant en second de la compagnie de Castelsarrasin, ont notamment œuvré à couper la circulation sur la départementale 7, le temps de l’intervention des secours. Le maire de Brassac, Jean-Claude Ajas, est venu leur témoigner son soutien.
Quant aux hommes en vert du service des routes du conseil général, ils attendaient de pouvoir intervenir pour effacer les traces d’huiles et hydrocarbures sur une chaussée déjà rendue glissante par les fortes pluies des derniers jours.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/01/31/1806914-moissac-collision-tragique-pris-malaise-septuagenaire-perd-vie-volant.html

Cinq blessés dans un accident entre Cambrai et Caudry : un pompier grièvement touché

Un accident de la route s’est produit sur la RD 643, ce jeudi soir. Cinq personnes sont impliquées. Parmi elles, deux pompiers de Caudry, dont l’un est grièvement blessé, selon les secours intervenus sur place.

Ils ont le visage fermé, les pompiers, ce jeudi soir, tout en étant rigoureusement mobilisés sur cet accident de la circulation qui paralyse une partie de la RD 643, entre Awoingt et Estourmel. C’est que deux des leurs ont été impactés par cet accident impliquant trois voitures dont une camionnette de pompiers rattachés à la caserne de Caudry. Et l’un des deux hommes est grièvement blessé, comme l’indique le capitaine Jarosz, de Caudry, mobilisé avec ses équipes et celles de Cambrai, sur les lieux depuis 19h20- 19h30, heure approximative à laquelle s’est produit l’accident.
Un accident dont les circonstances sont encore à déterminer mais déjà, alors que les victimes sont sur le point d’être transportées vers l’hôpital de Cambrai, les gendarmes d’Avesnes-les-Aubert se déploient afin de procéder aux constatations, de marquer le positionnement des véhicules, d’entendre les éventuels témoins. Selon les éléments recueillis sur place, mais qui n’ont pas été confirmés officiellement, l’accident se serait produit à l’occasion d’un malheureux dépassement. Ainsi témoigne le pilote d’un scooter. « Je roulais en direction de Caudry, et un 4X4 m’a doublé… » Au même moment, sur la voie opposée (une voie double), une autre voiture effectuait elle aussi un dépassement. « Le 4x4 et l’autre voiture sont entrés en collision », rapporte cette autre automobiliste de Caudry.
Sous la violence du choc, la voiture plus légère aurait effectué des tête- à -queue et serait venue percuter la camionnette des pompiers. Ces derniers revenaient d’un entraînement de sauveteurs aquatiques mené à la piscine de Cambrai lorsque le choc a eu lieu. À l’arrivée des secours, le blessé grave, mais dont le pronostic vital n’est pas engagé, était conscient.

http://www.lavoixdunord.fr/region/cinq-blesses-dans-un-accident-entre-cambrai-et-caudry-un-ia13b0n1885453

jeudi 30 janvier 2014

Accident d'hélicoptère dans le vignoble bordelais : un nouveau corps retrouvé

Un nouveau corps a été retrouvé jeudi sur les rives de la Dordogne, en Gironde, et les gendarmes ont précisé qu'il s'agissait probablement de l'ex-propriétaire d'un château viticole disparu dans un accident d'hélicoptère le 20 décembre avec trois autres personnes, dont un milliardaire chinois.
L'hélicoptère s'était abîmé dans la Dordogne, près de Libourne (Gironde), tuant ses quatre passagers. Le corps du milliardaire chinois Lam Kok, acquéreur du château de La Rivière et à la du groupe Brilliant spécialisé notamment dans le négoce de thés, est le seul toujours porté disparu.

Le
retrouvé jeudi a été découvert par un promeneur à la mi-journée sur la commune de Saint-Loubès, à 800 mètres du lieu où avait retrouvé le 11 janvier celui du conseiller financier en France du groupe chinois, Peng Wang, a précisé le commandant du groupement de gendarmerie de la Gironde, le colonel Ghislain Réty.

«Les premiers éléments laissent à penser qu'il s'agit du corps de James Grégoire», ancien propriétaire du château de La Rivière, a précisé le colonel, «mais il faut encore le confirmer par une comparaison ADN». Des prélèvements seront effectués lors de l'autopsie, dont la date n'a pas encore été fixée, et les résultats ne devraient pas être connus avant le milieu de la semaine prochaine, selon le gendarme.

Le lieu de la découverte de situe à une dizaine de kilomètres environ en aval de l'endroit où s'est abîmé l'hélicoptère.
Seul le corps de l'enfant du milliardaire chinois, âgé de 12 ans, avait été retrouvé le soir même dans la carcasse de l'appareil qui gisait par sept mètres de fond.

L'acquisition du château et de ses 65 hectares de vignes en appellation Fronsac, réalisée la veille de l'accident, représentait le plus gros investissement chinois à ce jour dans le vignoble bordelais, estimé à 30 millions d'euros.



http://www.leparisien.fr/faits-divers/accident-d-helicoptere-dans-le-vignoble-bordelais-un-nouveau-corps-retrouve-30-01-2014-3543815.php

Accident mortel d'hélicoptère : Héli Air Monaco et Turbomeca reconnus "coupables"

Près de dix ans après un accident d'hélicoptère qui avait fait cinq morts près de Nice, le transporteur Héli Air Monaco et le fabricant de turbines Turbomeca (groupe Safran) ont été reconnus "coupables d'homicides involontaires par personne morale" ce jeudi par le Tribunal correctionnel de Nice


La compagnie monégasque de transport Héli Air Monaco devra payer 50.000 euros d'amende à l'Etat et le constructeur français Turbomeca à 100.000 euros, soit deux fois moins que les sommes qui avaient été requises par le ministère public lors du procès en novembre.

Les deux sociétés devront en outre verser ensemble près de 36.000 euros de dommages et intérêts à la Fédération nationale des victimes d'attentats et d'accidents collectifs (Fenvac).

Rappel des faits :

L'hélicoptère, un Ecureuil AS-350, qui, outre le pilote, transportait quatre personnes, s'était abîmé en mer au large de la pointe de Saint-Jean-Cap-Ferrat lors d'une rotation entre l'aéroport de Nice-Côte d'Azur et la principauté de Monaco le 8 juin 2004, alors que les conditions météorologiques étaient clémentes en milieu de journée.

Une quinzaine de parties civiles ont pour leur part obtenu jeudi 19.000 euros de remboursements de frais de justice. Elles devront toutefois aller réclamer des dommages et intérêts devant une juridiction civile.

Le tribunal pénal s'est également dit incompétent pour allouer des dommages et intérêts à la famille du pilote d'hélicoptère (la mère, la compagne et son fils), dans le cadre d'un accident du travail. 



http://cote-d-azur.france3.fr/justice

Monferran-Savès. Heurtée sur la RN 124, elle succombe à l'hôpital


L’année 2014 démarre très mal sur les routes du Gers. Impliquée dans une collision sur la RN124 à hauteur de Monferran-Savès mardi, vers 7 h 50, une femme de 76 ans a perdu la vie à l’hôpital quelques heures plus tard. Heurtée à un croisement par un automobiliste de 46 ans circulant dans le sens Auch-L’Isle-Jourdain, Marie Lahille accompagnait son mari, âgé de 83 ans. Passagère au moment des faits, la victime s’était plainte de douleurs aux jambes et à l’abdomen. Dépêchés sur place, les pompiers de L’Isle-Jourdain aidé par leurs collègues de Samatan et de Gimont avaient secouru la victime avant de la transporter dans le centre hospitalier le plus proche pour soigner une fracture au niveau des jambes. Des blessures moins superficielles qui n’y paraissaient, la septuagénaire étant victime dans les heures qui suivent d’une hémorragie cérébrale. Originaire du département, Marie Lahille était bien connue des habitants de la cité gersoise. Vivant à Monferran-Savès depuis son plus jeune âge, elle participait régulièrement à des manifestations. Ce drame porte à trois le nombre de décès sur les routes gersoises depuis le début du mois de janvier. Le 7 janvier, une femme de 50 ans avait succombé à ses blessures après avoir été heurtée par deux Britanniques sur la RD928 à deux pas de Masseube, à la sortie de son travail. Une semaine plus tard, un piéton de 83 ans était renversé par un automobiliste sur cette même RN 124, à hauteur du centre de secours de Vic-Fezensac. Dans un état jugé critique, l’octogénaire n’avait pas survécu à la collision.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/01/30/1806123-monferran-saves-heurtee-rn-124-succombe-hopital.html

Chutes de neige : un car d’enfants belges se renverse

Le trafic dans les Hautes-Alpes s’est trouvé très affecté par ces intempéries survenues ce mercredi. À Saint-Jean-Saint-Nicolas, un car transportant 37 enfants (de 6 à 12 ans) et 6 adultes s’est couché sur le côté, aux alentours de 17 h 30. Un seul blessé léger est à déplorer. Un véhicule de remplacement a été envoyé pour mener à bon port ces touristes belges, qui se rendaient au centre de vacances « Le bonhomme de neige ».
Pratiquement au même moment, à Avançon, c’est un poids lourd militaire qui en a percuté un autre, alors qu’il circulait sur la D942. Choquée, la conductrice du premier véhicule a été transportée au centre hospitalier des Alpes du Sud par les sapeurs-pompiers.
En parallèle, les gendarmes et les secours du département ont dû gérer de multiples accidents matériels, des difficultés de circulation et quelques blessés légers.

En raison des prévisions météo peu optimistes, à partir de ce jeudi à 2 heures du matin, un arrêté préfectoral interdit la RN85, la RN94 ainsi que les départementales 900B, 942 (PR35 à 55+140), RD993, RD994 et RD1075 aux poids lourds de plus de 26 tonnes qui ne sont pas munis d’équipements spéciaux. La préfecture recommande la plus grande prudence sur les routes et conseille aux automobilistes de limiter au maximum leurs déplacements.

http://www.ledauphine.com/hautes-alpes/2014/01/30/chutes-de-neige-un-car-d-enfants-belges-se-renverse

mercredi 29 janvier 2014

Un mort et deux blessés graves dans un carambolage au centre-ville

Moment d’inattention ? Défaillance mécanique ? Ou plus vraisemblablement malaise au volant ? Les services de police ont ouvert une enquête pour déterminer l’origine d’un violent carambolage survenu mardi matin en plein centre-ville de Reims, à l’intersection des rues Voltaire et des Trois-Raisinets. Le bilan est lourd : âgée de 70 ans, l’automobiliste qui a provoqué l’accident est décédée tandis que trois autres personnes ont été blessées, dont deux sérieusement.
L’accident s’est produit à 9 h 05. Trois voitures attendaient au feu de la rue des Trois-Raisinets, le long du square des Cordeliers, lorsqu’une Peugeot 107 conduite par la dame de 70 ans a violemment embouti une Ford Fiesta occupée par un couple d’une cinquantaine d’années. Sous le choc, la Ford s’est retrouvée compressée entre la Peugeot 107 et une Renault Clio, elle-même projetée contre le premier véhicule de la file.

Bouche-à-bouche et massage cardiaque

Le hasard a voulu qu’une passante, infirmière de profession, soit présente sur les lieux de l’accident. Elle a fait une rapide évaluation de l’état des blessés. Si elle ne pouvait rien faire pour les occupants de la Ford, incarcérés dans l’habitacle, elle a constaté que la septuagénaire affalée au volant était en arrêt cardiaque.
« Elle a tout de suite pratiqué un bouche-à-bouche, puis un autre témoin, qui est médecin, est venu la rejoindre pour faire un massage cardiaque », souligne le commandant Patrick Delin, chef des opérations de secours. « Il a commencé le massage au moment où nous arrivions. Il l’a poursuivi en relais avec nos pompiers. »
L’intervention des deux passants et des sauveteurs fut d’abord récompensée. Le cœur de l’automobiliste est reparti, mais son état restait très critique lors de son évacuation au centre hospitalier, où elle est finalement décédée à 12 h 30.

Une vingtaine de pompiers mobilisés

L’accident a mobilisé une vingtaine de pompiers. Pendant qu’une équipe s’occupait de la septuagénaire, d’autres sauveteurs ont procédé à la désincarcération des deux occupants de la Ford, sérieusement blessés. Leurs jours ne semblent toutefois pas en danger.
Un homme d’une soixantaine d’années se trouvait dans la Clio. Lui est légèrement touché. Quatre ambulances ont assuré le transport des victimes au CHU. Seule la conductrice de la première voiture est indemne.
Saisis de l’enquête, les policiers du commissariat de Reims attendaient beaucoup de l’audition de la septuagénaire pour tenter d’expliquer l’origine de la collision. Sa voiture est arrivée sans ralentir. Aucune trace de freinage n’a été relevée. L’hypothèse du malaise cardiaque antérieur à l’accident paraît la plus plausible, mais elle reste à confirmer

http://www.lunion.presse.fr/accueil/un-mort-et-deux-blesses-graves-dans-un-carambolage-au-ia0b0n290512

Drame de Quiévrechain: une information judiciaire pour assassinat devrait être ouverte ce mercredi

C’est une voisine de la victime qui a alerté, vers 21 heures, les services de police et les sapeurs-pompiers. Cette dernière aurait « assisté au meurtre par une porte du garage de la victime restée entrouverte », a fait savoir le parquet de Valenciennes ce mardi après-midi. Dans le même temps, les services de police-secours reçoivent un deuxième appel émanant de l’ancien concubin de la victime. Domicilié à la Seyne-sur-Mer, dans le Var, ce dernier indique « qu’il venait de porter plusieurs coups de couteau à son ancienne concubine et qu’il souhaitait se constituer prisonnier. » Dix minutes plus tard, l’ancien compagnon est donc interpellé et placé en garde à vue, a priori sous le chef d’inculpation d’assassinat. Âgé de 41 ans, il est également retrouvé en possession d’un grand couteau.
La victime, elle, se trouve dans son garage, à côté de son véhicule. « Elle présentait plusieurs entailles notamment au niveau du dos et de la gorge, poursuit François Pérain, procureur de la république de Valenciennes. Les pompiers ont tenté de la ranimer durant plusieurs minutes. En vain. Son décès était constaté à 21 heures 45. » Quelques minutes plus tard, le parquet de Valenciennes est à son tour sur place.
D’après les premiers éléments de l’enquête, c’est un différend entre les anciens concubins qui aurait été à l’origine du drame. Le couple se serait en effet séparé courant août 2011, alors que la victime était enceinte d’un mois. Un petit garçon, qui ne sera pas reconnu par son père, naîtra ensuite, début décembre 2012. « La victime se serait, d’après le mis en cause, toujours opposée à ce qu’il voit son fils et il en aurait conçu du ressentiment », développe le parquet.
Dimanche, l’ancien concubin aurait donc pris le train, direction Valenciennes, où il réserve une chambre pour deux nuits. Le lendemain matin, « vers 10 h 30, il s’est rendu au centre-ville de Valenciennes où il a fait l’acquisition d’un couteau de cuisine. Il s’est ensuite rendu en fin d’après-midi à Quiévrechain par le bus, puis à pied jusqu’au domicile de la victime. Selon ses dires, sur place, il aurait pénétré dans la cour de l’habitation en escaladant le portail. Puis il se serait caché dans un abri de jardin attenant à l’habitation » en attendant le retour de l’infirmière.
Vers 21 heures, cette dernière finit par rentrer chez elle. « Elle revenait seule du domicile de sa mère qui garde habituellement son fils », poursuit François Pérain. Une fois la voiture stationnée, la mère de famille referme la porte du garage. Son ancien compagnon serait alors rentré à l’intérieur du garage par une porte intérieure. « Il sortait son couteau et lui assénait plusieurs coups, avant de prendre la fuite en entendant la voisine crier. » S’agit-il d’un acte prémédité, comme l‘achat du couteau quelques heures plus tôt pourrait le laisser penser ? « Il conteste la préméditation, indiquant s’être muni d’un couteau pour se défendre car il aurait déjà été agressé par l’un des frères de la victime, indique le procureur. Il affirme être allé au domicile de la victime pour discuter. »
Le meurtrier présumé n’avait encore jamais été condamné. Il faisait toutefois l’objet d’un suivi psychiatrique dans le Var. Une information judiciaire pour assassinat devrait logiquement être ouverte demain. Un point presse sera organisé à cette occasion au parquet de Valenciennes.
http://www.lavoixdunord.fr/region/valenciennes-et-ses-environs/quievrechain

En un mois, quatre morts à Marseille

Un homme d’une quarantaine d’années a été tué mardi d'une rafale de kalachnikov dans les quartiers nord de Marseille. Son fils de neuf ans se trouvait à bord du véhicule dans lequel il a été abattu.




Un mois et déjà quatre règlements de comptes à Marseille. Mardi, un homme d'une quarantaine d'années a été abattu d'une rafale de kalachnikov dans les quartiers nord de la ville. La victime était en voiture quand elle a été prise pour cible par plusieurs individus qui ont pris la fuite dans un autre véhicule retrouvé incendié par les policiers. L'agression s'est produite devant l'une des entrées d'immeuble de la cité Val Plan, dans le XIIIe arrondissement de la ville. Une vingtaine de balles ont été tirées par les tueurs, mais aucune n'a heureusement touché le fils de la victime, âgé de neuf ans, qui se trouvait à l'arrière du véhicule.
L'homme abattu, Lakhdar Medjou, était considéré comme un membre du milieu marseillais. En 2005, il avait été interpellé après avoir survolé en hélicoptère la prison de Villefranche-sur-Saône où était incarcéré le braqueur Pascal Payet, qu'il projetait sans doute de faire évader. Selon une source proche de l'enquête interrogée par Reuters, il a tenu un rôle majeur dans le trafic de stupéfiants de cette cité sensible de Marseille. «Cette exécution intervient au lendemain de la présentation par (le ministre de l'Intérieur) Manuel Valls de chiffres de la délinquance en amélioration, mais on s'aperçoit que la réalité des règlements de comptes reste tenace», a déclaré à l’agence de presse le délégué local du syndicat Alliance, David-Olivier Reverdy.

Une dramatique année 2013

Samedi, un autre homme bien connu de la justice a lui aussi été abattu. Il a été retrouvé chez lui, une balle dans la tête. L’homme avait été condamné en 2006 à un an de prison ferme dans une affaire de machines à sous, rapporte «La Provence». Le quotidien régional ajoute qu’il aurait également été impliqué dans des cas de proxénétisme et de vols à main armée. Récemment, la victime se serait reconvertie dans le trafic de drogue.
Le 12 janvier, un jeune homme de 20 ans a lui aussi été tué d’une balle dans la tête. Lundi dernier, un autre jeune du même âge a également succombé à des tirs de kalachnikov. Une année 2014 qui commence aussi tragiquement que 2013 s’était terminée.
Au total, 17 personnes sont mortes dans de telles conditions, l’an dernier dans les Bouches-du-Rhône, dont 15 pour la seule cité phocéenne. La plupart de ces meurtres sont liés à des rivalités autour de trafics de stupéfiants. Le jour de la Saint-Sylvestre, dernier jour de l'année, deux assassinats ont clôturé ce décompte sanglant. Dans le 13e arrondissement de Marseille, dans la nuit du 30 au 31 décembre, deux hommes ont été abattus dans leur voiture d’une rafale de kalachnikov, alors qu’ils s’apprêtaient à s’engager sur une voie rapide. Les deux victimes sont mortes sur le coup. 
http://www.parismatch.com/Actu/Faits-divers

Une septuagénaire écrasée par un 4x4

L’accident s’est déroulé en plein centre-ville du Grand-Bornand, à proximité de l’église, hier vers 14 heures.
Une septuagénaire qui traversait la chaussée a été écrasée par un 4x4. Le conducteur, un Bornandin de 56 ans qui roulait à vitesse modérée, ne s’est pas rendu compte de l’accident. Ce sont des témoins qui ont arrêté son véhicule. Fortement choqué, il a été pris en charge par les secours et hospitalisé.
La victime, âgée de 79 ans et habitant Saint-Jean-de-Sixt, était en arrêt cardio-respiratoire à l’arrivée des pompiers et des urgentistes du Smur. Les secouristes ont tout tenté pour la ranimer, pendant près de 40 minutes, sans succès. Elle est décédée sur place.
La gendarmerie a ouvert une enquête pour tenter de déterminer les causes de l’accident.
D’après les premiers éléments recueillis par les enquêteurs, la septuagénaire aurait pu traverser en dehors des passages protégés.
Les dépistages d’alcoolémie et de stupéfiants effectués sur le conducteur se sont avérés négatifs.

http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2014/01/28/une-septuagenaire-ecrasee-par-un-4x4

mardi 28 janvier 2014

L’hôpital dans le collimateur d’une famille endeuillée

VITRY-LE-FRANCOIS (51). Jocelyne Capron a succombé à une rupture d’anévrisme. Ce qui aurait pu être évité selon sa famille, qui dénonce une « négligence médicale ».
Déçu, amer et en colère. » C’est en ces termes que Jean-Pierre Capron, 64 ans, décrit son état d’esprit après le décès de sa femme Jocelyne, 62 ans. Jocelyne est partie le 21 janvier dernier des suites d’une rupture d’anévrisme, et ce dans des circonstances singulières. « Si les urgences des hôpitaux de Vitry et de Saint-Dizier avaient fait leur travail les 25 et 27 décembre, on n’en serait pas là, regrette le sexagénaire originaire de Saint-Lumier-la-Populeuse. Le problème n’est pas qu’il y a eu erreur de diagnostic. Le problème, c’est que rien n’a été fait jusqu’au 14 janvier. »

« Elle était comme un mort-vivant »

Les raisons de la colère : la sexagénaire, baladée de services médicaux en services médicaux entre Vitry, Saint-Dizier, puis Châlons et Reims, aurait vécu inutilement un mois de souffrances chroniques.
« La première fois qu’on l’a amenée aux urgences, elle était comme un mort-vivant. Le 14 janvier, elle était lessivée et frigorifiée. Elle ne me reconnaissait même plus. Elle a souffert, je vous le garantis… » Jean-Pierre et sa famille estiment n’avoir pas été pris au sérieux, en tout cas pas assez vite. « Les symptômes ressemblaient dès le départ à une attaque cérébrale ou à de l’anévrisme. Il aurait fallu tout de suite envisager la maladie la plus grave », estime-t-il en pointant du doigt les « dysfonctionnements du système hospitalier ».
Sa fille Carole Capron, 40 ans, ne le contredira pas. « Après l’IRM à Châlons, vers le 15 janvier, on nous a parlé d’une d’hémorragie méningée. Et à Reims, on nous a dit que le problème était visible au premier scanner. » Ainsi, l’anévrisme aurait même rompu dès le 25 décembre. Alors la question devient lancinante chez les Capron : « Pourquoi n’a-t-on rien vu à Vitry ? »
Cette infirmière libérale vivant à Nice entend bien mener bataille pour sa mère avec son père, son frère et sa sœur. C’est elle qui a rédigé un courrier de six pages où elle résume la version de la famille. Une lettre envoyée à la direction des hôpitaux de Vitry et Saint-Dizier, ainsi qu’à la ministre de la Santé Marisol Touraine. Et aussi à la gendarmerie.
« On a fait une demande de dossier médical à Reims, Vitry et Saint-Dizier, dévoile Carole Capron. On ne dit pas que l’hôpital a tué ma mère : on veut dénoncer la négligence, la lenteur de sa prise en charge. Avec l’arthrose cervicale, on a fait un diagnostic facile. On nous a dit : Elle n’a rien, ce n’est pas grave. Finalement, on ne lui a pas laissé de chance. Sa santé n’avait rien de fragile, elle n’avait jamais mis les pieds à l’hôpital sauf pour accoucher… »

« Le personnel qui a failli doit être sanctionné »

Depuis, les messages de soutien affluent. « J’ai reçu beaucoup d’appels. Les gens nous disent qu’on a raison de réagir. Rien ne me rendra ma mère, mais son cas doit servir d’exemple. Il y a des gens très bien dans le milieu médical, mais je veux que le nom de ma mère résonne dans la tête de ceux qui l’ont mal soignée. Demain, aux urgences, il faut qu’on voie le patient différemment, et qu’on lui apporte de la considération. »
Jean-Pierre enchaîne sur le même ton : « Un être humain n’est pas un objet ! La médecine est quelque chose qu’on sait apprécier, on doit pouvoir faire confiance aux médecins. Le personnel qui a failli doit être sanctionné. »
Carole a créé une page spéciale sur facebook. Son nom est éloquent : Contre l’hôpital de Vitry-le-François. Elle y raconte toute l’histoire et résume les démarches de sa famille, tout en précisant qu’elle ne souhaite pas la fermeture de l’hôpital. « Ma femme avait une telle force de caractère ! conclut Jean-Pierre Capron. Elle ne baissait jamais les bras. Elle mérite qu’on se batte pour elle. »

http://www.lunion.presse.fr/region/l-hopital-dans-le-collimateur-d-une-famille-endeuillee-ia3b24n289969

Outreau: une jeune fille de 15 ans renversée, son pronostic vital est engagé

Une adolescente de 15 ans a été renversée ce samedi à Outreau, boulevard de la Liberté. La conductrice qui l’a renversée a déclaré aux policiers n’avoir pas vu la jeune fille qui traversait alors que la visibilité était réduite à cause d’une forte pluie. Transférée au CHR de Lille, la jeune fille, victime d’un traumatisme crânien, est dans un état grave.
Le choc a eu lieu à 19 h 15, ce samedi, sur le boulevard de la Liberté, qui délimite à la fois les villes du Portel, de Boulogne et d’Outreau. Une jeune Boulonnaise de 15 ans a traversé le boulevard de la Liberté et s’est faite renverser par un véhicule, conduit par une femme de 30 ans, qui a déclaré n’avoir pas vu la victime à cause d’une forte pluie, qui réduisait la visibilité. Les sapeurs-pompiers de Boulogne et le Samu étaient présents sur place et la victime a été transférée dans un premier temps au centre hospitalier de Boulogne, avant d’être transportée en hélicoptère vers le CHR de Lille. Son pronostic vital était engagé.
Les tests de dépistage de stupéfiants et d’alcool réalisés auprès de la conductrice se sont révélés négatifs.
Ce lundi soir, le pronostic vital de la jeune fille était toujours engagé.

http://www.lavoixdunord.fr/region/outreau-une-jeune-fille-de-15-ans-renversee-son-ia31b49068n1877446

Pyrénées-Orientales : l’intervention des gendarmes vire au drame

Hier soir, vers 20h, les gendarmes sont appelés au domicile d'un couple à Saint-Estève (Pyrénées-Orientales). Un homme, armé d'un couteau, et son épouse sont en train de se disputer violemment. Les gendarmes lui donnent alors un coup de Taser. Transporté à l'hôpital, l'individu est décédé dans la nuit. Il pourrait être tombé sur son couteau après avoir reçu une décharge électrique. Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances de sa mort.

http://news.fr.msn.com/m6-actualite/faits-divers/info-m6-pyrenees-orientales-intervention-des-gendarmes-vire-au-drame

Accident en Haute-Saône : deux blessés graves

Àvoir l’état des carcasses, on pouvait croire que le pire s’était produit sur cette portion de la RN19 entre Vesoul et Port-sur-Saône, théâtre d’un grave accident de la circulation, hier matin… Le choc, violent, a impliqué trois voitures, et a fait deux blessés graves. Sur les trois véhicules, deux ont été réduits à l’état d’épaves.
Les faits se sont produits vers 8 h 15 lundi matin, à proximité du lieu-dit Ruz-de-Vellemoz.
Une Peugeot 405 circulait dans le sens Langres-Vesoul. À son bord : un homme de 33 ans, originaire de Champlitte. L’automobiliste arrivait au sommet de la côte sur cette portion de route à trois voies – juste avant le début de la deux fois deux voies – lorsqu’il a perdu le contrôle dans le virage. Dans sa course, il a d’abord touché une première voiture qui arrivait dans l’autre sens, une Renault Clio, avant de percuter frontalement une Renault Megane.

Éjecté du véhicule

Cette dernière collision, particulièrement violente, a projeté la Megane et la Peugeot dans le petit fossé, le long de la route. La Peugeot a été complètement arrachée à l’avant et les morceaux restant du moteur et du volant ont été pliés vers le haut. Dans le choc, le conducteur a été projeté hors de sa voiture.
De nombreux automobilistes ont été témoins de l’accident et ont pu prévenir les secours immédiatement, si bien que rapidement, d’importants moyens ont été déployés sur place.
Outre une vingtaine d’hommes et de femmes issus de Vesoul, Port-sur-Saône et Lure, les pompiers ont dépêché sur place une équipe médicale, trois ambulances, des moyens de désincarcération et le SMUR de Lure (celui de Vesoul étant sur un autre accident au même moment).
S’ils ont pu prendre en charge directement l’automobiliste de 33 ans, ils ont en revanche dû dépavillonner la Megane avant d’accéder à l’autre victime : une dame âgée de 61 ans originaire de Port-sur-Saône. Cette dernière, souffrant notamment de multiples fractures et d’un traumatisme thoracique, a été héliportée par le Dragon 25 jusqu’à l’hôpital de Besançon. Le trentenaire a pour sa part été transporté au centre hospitalier de Vesoul par les pompiers. Lui aussi souffrait de plusieurs fractures.

Circulation perturbée pendant plus deux heures

Gravement blessés, leurs vies ne semblaient pas pour autant en danger hier.
Le chauffeur de la Clio, un étudiant de 18 ans qui se rendait au lycée agricole de Port-sur-Saône, a été conduit au CH de Vesoul, mais n’était pas gravement blessé.
Les gendarmes, nombreux eux aussi sur les lieux de l’accident, se sont notamment chargés de réguler la circulation, abondante sur cet axe national, en particulier à cette heure-ci. Les militaires ont mis en place un alternat de la circulation sur une seule voie, sur environ 500 mètres. La brigade motorisée de Vesoul était présente pour assister la compagnie de Vesoul.
Une fois les victimes évacuées, la DIR-Est est intervenue pour nettoyer la chaussée et mettre de l’absorbant sur la route.
La circulation est revenue à la normale vers 10 h 30-10 h 45.
Il revient désormais à la communauté de brigades de Port-sur-Saône de faire la lumière sur les circonstances exactes du choc, et notamment de déterminer si la vitesse a pu jouer dans l’accident, ou si seule l’état de la chaussée, humide après une nuit pluvieuse, suffit à expliquer la perte de contrôle.

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2014/01/27/accident-en-haute-saone-deux-blesses-graves

lundi 27 janvier 2014

Un militaire retrouvé mort dans son garage

Le militaire, mécanicien à la BA 113 de Saint-Dizier, gisait dans son garage, une plaie à la poitrine. C'est son épouse qui a fait la macabre découverte.
Les époux, qui se sont mariés en juillet dernier, ne passaient pas le week-end ensemble. L'épouse du militaire était absente depuis vendredi soir. Elle avait avec elle leurs deux enfants âgés de 2 et 5 ans.
En rentrant chez elle, ce lundi matin, elle a constaté que la porte de la maison qu'ils habitent depuis un an était ouverte. Craignant qu'un cambrioleur soit à l'intérieur, elle a prévenu un voisin qui est entré vérifier. Il a d'abord vu que les diverses pièces avaient été fouillées. Puis il a découvert le corps du militaire allongé au sol dans le garage, derrière son véhicule.

Depuis ce matin, les enquêteurs de la gendarmerie sont sur place. D'après les premiers éléments recueillis dans le voisinage, la thèse du cambriolage qui tourne mal pourrait être envisagée. Samedi soir, un voisin affirme qu'une personne a sonné à son visiophone et pris ses jambes à son cou lorsqu'il a ouvert.
Sous le choc, l'épouse de la victime a été conduite à l'hôpital.

http://www.lunion.presse.fr/accueil/un-militaire-retrouve-mort-dans-son-garage-ia0b0n289703

Saint-Jean-de-Luz : quatre ouvriers frappés par la foudre

L'impact est tombé sur la flèche d'une grue de 30 mètres en action dans le quartier Karsinenea, au-dessus de la clinique. Quatre ouvriers qui travaillaient autour ont été touchés. Deux d'entre eux sont dans un état grave

Le bruit a été terrible. J'ai vu comme une boule de feu et la cabine a tremblé », témoigne, encore sous le choc, le conducteur de la grue de 30 mètres qui a été frappée, ce lundi matin, par la foudre au-dessus de la clinique de Saint-Jean-de-Luz, dans le quartier Karsinenea.
Alors qu'une quarantaine d'ouvriers travaillaient sur le chantier de ce lotissement composé de sept bâtiments, la pluie a redoublé d'intensité. Et la foudre a frappé vers 10h40. Le grutier, protégé dans sa cabine, n'a pas été blessé. Mais quatre collègues ont subi les effets de la déflagration. Deux sont dans un état grave à cause des brûlures et ont été transportés par le Samu à Bayonne.
La police et l'inspection du travail vont déterminer les circonstances exactes de l'accident et voir si toutes les règles de sécurité ont été respectées. « C'est un accident rarissime », assure le conducteur du chantier.

http://www.sudouest.fr/2014/01/27/saint-jean-de-luz-64-quatre-ouvriers-frappes-par-la-foudre-1442835-7.php

Pyrénées-Orientales : disparu depuis vendredi, Adrien retrouvé mort

Le corps sans vie d’Adrien, âgé de 16 ans, a été retrouvé dans un cours d’eau dimanche après-midi, entre Millas et Corneilla-la-Rivière, dans les Pyrénées-Orientales.
Le jeune homme avait disparu dans la nuit de vendredi à samedi. Il participait à une soirée chez une amie qui fêtait son anniversaire dans un mas à Corneilla-la-Rivière. Il devait y passer la nuit et rentrer chez lui à Saint-Cyprien, en bus, le samedi.
Dernier signe de vie : vers 23 h 30, vendredi, il a appelé une amie qui ne participait pas à la fête et lui aurait dit qu’il était un peu perdu, qu’il ne savait pas exactement où il se trouvait. Après ce coup de fil, plus personne ne l’a vu à la soirée.


Alerte donnée samedi après-midi
Très inquiets en ne le voyant pas revenir, les parents d’Adrien ont signalé sa disparition aux gendarmeries de Millas et de Cabestany samedi après-midi. Des recherches ont été immédiatement lancées sur la zone et hier vers 15 h 45, le corps du jeune garçon a été retrouvé dans un cours d’eau à proximité du mas où se déroulait la fête.
Le ruisseau est en fait une sorte d’agouille peu profonde, de 40 à 50 cm d’eau. Dimanche en fin d’après-midi, les gendarmes quadrillaient encore les lieux. Des plongeurs de la brigade nautique de Saint-Cyprien inspectaient ce ruisseau.
Thèse accidentelle privilégiée
S’il est encore trop tôt pour déterminer les circonstances exactes de ce décès, il semblerait que l’enquête se dirige vers une thèse accidentelle. Le jeune garçon avait-il bu ? A-t-il glissé dans ce cours d’eau ? L’enquête, menée par la gendarmerie de Millas et la Brigade de recherche de Perpignan, ainsi que l’examen du corps, devraient permettre dans les jours qui viennent d’apporter des réponses à ce terrible drame.

http://www.midilibre.fr/2014/01/26/disparu-depuis-vendredi-adrien-retrouve-mort,813676.php

dimanche 26 janvier 2014

Un homme agressé mortellement près de Rouen

Le corps d'un homme de 32 ans, tué de plusieurs coups de couteau, a été retrouvé hier soir par une passante dans un parc municipal du Houlme en Seine-Maritime, près de Rouen, selon des sources policières.

La victime portait de nombreuses plaies profondes provoquées par un couteau au niveau de la gorge et du cou, selon les premières constatations. Le jeune homme, qui résidait au Houlme dans une résidence proche du lieu où son corps a été retrouvé, a également été très violemment frappé à la tête.

Un homme de 34 ans, couvert de sang et en possession d'un couteau, s'est livré de lui-même hier soir à la brigade de gendarmerie de Pont-de-l'Arche, a indiqué une source proche du dossier. Il a été placé en garde à vue, a indiqué le parquet de Rouen, en précisant que des vérifications étaient en cours


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/01/26/97001-20140126FILWWW00123-un-homme-poignarde-a-mort-pres-de-rouen.php

Un skieur hors piste tué dans une avalanche à Auron

Un skieur de 48 ans qui pratiquait le hors piste avec un ami a été emporté ce matin dans une avalanche.
Tous deux ont été secourus par les pisteurs, dans le secteur du Dôme, sur le domaine de Las Donnas.
Mais il était hélas déjà trop tard pour l'un des deux.

http://www.nicematin.com/derniere-minute/un-skieur-hors-piste-tue-dans-une-avalanche-a-auron.1597220.html

Intempéries: Un décès, des routes coupées, des maisons inondées...

Hier en fin de journée, huit départements étaient encore en vigilance orange crue. Il s’agit de l’Ariège, du Gers, des Landes, de la Haute-Garonne, du Lot-et-Garonne, des Pyrénées-Atlantiques, des Hautes-Pyrénées et du Tarn-et-Garonne.
En Haute-Garonne. La crue a atteint son pic vers 15 heures avec 3.80 mètres relevés dans la Garonne à Toulouse. L’île du Ramier a dû être évacuée. Les liaisons de chemin de fer entre Montréjeau et Luchon et entre Toulouse et La Tour de Carol ont été interrompues. Une cinquantaine de routes ont été coupées. Deux campings ont été évacués à Auterive et Palaminy. les sapeurs-pompiers ont réalisé 166 interventions. À Toulouse, le corps d’une femme a été découvert flottant au niveau de la Daurade. On ignorait hier si le décès était lié aux intempéries.
Dans les Hautes-Pyrénées. Encore une fois, les intempéries n’ont pas épargné le département. Suite aux fortes précipitations de la nuit de vendredi à samedi, des cours d’eau ont débordé, notamment l’Echez et la Baïse. Les pompiers ont procédé à 160 interventions, portant assistance à 26 personnes, essentiellement dans le nord du département qui a pris l’eau de toutes parts. A Villefranque, une famille a été secourue en barque. De plus, glissement de terrain à Lortet et plusieurs routes coupées. Ainsi, le tunnel d’Aragnouet n’est toujours pas accessible. Une entrée de Lourdes a été fermée et l’agglomération tarbaise n’est pas épargnée : la zone de Bastillac est inondée et le Caminadour a dû être fermé. Le secteur d’Oursbelille est également touché.
Dans le Gers. Les pompiers, issus de tous les centres de secours du département, ont effectué 90 interventions en 24 heures (assèchements, bâchages, chutes d’arbre, mise en sécurité,..). De nombreux axes routiers du département ont été coupés perturbant fortement la circulation. Si une accalmie a été constatée hier après-midi, la préfecture annonce la reprise des précipitations ce soir. Des cumuls de 7 à 15 mm sont alors à prévoir.
Dans le Lot-et-Garonne. Hier, en fin d’après-midi, la Garonne agenaise était placée en vigilance jaune. Monté de plus de quatre mètres au cours de la journée, le fleuve devrait atteindre son pic de six mètres dans le courant de la nuit. Par mesure de prévention, la voie sur berge a été fermée à Agen. La Garonne marmandaise, ainsi que les secteurs Baïse, Gélise, Gers ont quant à eux été placés en vigilance orange. À Nérac, la Baïse a investi les quais de l’espace d’Albret, provoquant des inondations dans des caves de particuliers et de restaurants. De nombreux chemins communaux ont été fermés sur l’ensemble du département et quelques routes départementales ont été interdites à la circulation.
Dans le Tarn-et-Garonne. À Verdun-sur-Garonne, hier, dès 7 heures du matin, le service de protection civile annonçait une crue de Garonne à 6,10 en fin d’après-midi. Autrement dit historique comme celle de juin 2000 et celle de 1 876. Les 140 familles concernées par la crue étaient priées d’évacuer leur maison. A 13 heures, le niveau du fleuve atteignait 5,25 m. À 16 heures, la Garonne débordait déjà largement et les riverains et de nombreux badauds se pressaient à l’entrée du pont de Verdun, pour surveiller la montée des eaux. La RD 6 était fermée à la circulation, ainsi que la RD 52 à Grisolles, la RD 77 à Monbéqui, la 113 à Maubec, la RD 928 à Bourret. A 20 heures, Garonne devait atteindre entre 6,10 m et 6, 30 m. Les familles évacuées étaient accueillies dans la salle des fêtes de Dieupentale avec la logistique de la Croix Rouge. Ailleurs dans le département, notamment à Monbéqui certains quartiers étaient sous les eaux. La Gimone est sortie de son lit en Lomagne. A Varen, la route des berges est inondée. A Saint-Antonin et Caylus La Bonnette était sous surveillance.
En Ariège. Tous les cours d’eau ariégeois étaient en crue hier, avec un pic en milieu de journée, et une tendance à la décrue en fin d’après-midi. Les intempéries ont engendré d’importantes perturbations. Un éboulement rocheux a coupé la route qui mène d’Ax-3-Domaines à Ax-les-Thermes, vers 17 heures, sans faire de victime. La voie a été dégagée rapidement pour permettre aux skieurs de regagner la vallée. La route vers l’Andorre reste interdite à tout véhicule jusqu’à demain, à cause du fort risque d’avalanche, mais l’accès vers les Pyrénées-Orientales, par le tunnel du Puymorens, est possible. Enfin, 17 000 habitants du Pays d’Olmes sont privés d’eau potable. La pénurie concerne une vingtaine de communes, dont Lavelanet. Une distribution d’eau a été organisée hier en fin de journée. Le retour à la normale n’est pas attendu avant mercredi.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/01/26/1803570-intemperies-un-deces-des-routes-coupees-des-maisons-inondees.html

Gironde : suicide sur le parking de la mairie de Béguey

Un trentenaire s'est tiré un coup de fusil fatal cette fin d'après-midi.
Ce sont des enfants qui ont fait la macabre découverte alors qu'ils jouaient. Vers 17h15 ce samedi après-midi, un automobiliste gisait inanimé dans l'habitacle tâché de sang de son véhicule garé place de la mairie à Béguey.
Rapidement sur les lieux, les gendarmes ont constaté le décès du conducteur. Il s'agit d'un homme de 37 ans qui habitait le secteur. Selon les premiers éléments dont disposent les gendarmes, il s'agit d'un geste désespéré. L'homme s'est tiré un coup de fusil de chasse dans la région du cœur.

http://www.sudouest.fr/unes/faits-divers/

RHÔNE. Des accidents en pagaille sur les routes du département à cause de la pluie

Le temps pluvieux était propice aux accidents, vendredi, occasionnant de nombreux bouchons. En fin de matinée, vers 11 h 30, sur le boulevard Laurent-Bonnevay, au virage dit de la « Femme morte », à Bron-Parilly, une voiture s’est retrouvée sur le côté sans que les circonstances de l’accident aient pu être clairement déterminées. Le conducteur a été légèrement blessé.
Plus impressionnant, en début d’après-midi, à 13 h 20, toujours sur le périphérique Laurent-Bonnevay mais cette fois à hauteur de Saint-Fons, à l’entrée sud de Lyon-Gerland au niveau de l’embranchement du périphérique, une voiture a littéralement volé et effectué plusieurs tonneaux. Elle est montée sur le muret en béton. Elle s’est retrouvée sur le terre-plein central et a terminé sa course sur le capot. Le conducteur a été transporté à l’hôpital mais son état n’était pas préoccupant.
Autre incident à déplorer, un accrochage entre une voiture et un scooter avenue des Frères-Lumière (Lyon 8e ). Là aussi, la conductrice du scooter a été légèrement blessée.

http://www.leprogres.fr/faits-divers/2014/01/25/des-accidents-en-pagaille-sur-les-routes-du-departement-a-cause-de-la-pluie

samedi 25 janvier 2014

ROUCY (02). Accident mortel sur la D 22

Vendredi soir, bien après l'épisode de verglas qui a en engendré de nombreux accidents dont un mortel sur les routes de l'Aisne, une autre collision a coûté la vie à une jeune femme entre les communes de Roucy et Cormicy.
Agée de 19 ans et originaire du secteur, la conductrice d'une Clio rouge circulait sur la D22 quand, un peu avant 19 heures, elle s'est brusquement déportée sur le côté gauche de la route. Un poids lourd qui arrivait en sens inverse n'a pu éviter la collision.
Le choc a été d'une grande violence. La jeune femme a pu être extraite du véhicule par les pompiers et conduite au centre hospitalier de Reims. Elle n'a pas survécu à ses blessures

http://www.lunion.presse.fr/region/region-en-direct

Yvelines : un cycliste renversé à Triel-sur-Seine dans un état critique

Ce samedi matin, un cycliste d’une trentaine d’années est toujours entre la vie et la . Le pronostic vital de cet homme renversé vendredi soir à Triel-sur-Seine (Yvelines) est plus que jamais engagé.

Alors qu’il circulait dans la rue principale de la commune, il a été violemment percuté par l’arrière par une voiture.
 
Blessé grièvement et en arrêt cardiaque, il a été ranimé par les secours avant d’être transporté par hélicoptère à l’hôpital Beaujon (Hauts-de-Seine) dans un état critique.

Les auditions de la conductrice du véhicule, qui a été placée en garde à vue au commissariat de Poissy, doivent se poursuivre aujourd’hui.


http://www.leparisien.fr/yvelines-78/yvelines-un-cycliste-renverse-a-triel-sur-seine-dans-un-etat-critique-25-01-2014-3527017.php

Faits divers. Une Angevine décède dans un accident à Saint-Denis-d'Anjou

Une femme de 19 ans est décédée, vendredi soir vers 18 h 55, dans une collision entre trois voitures, à Saint-Denis-d'Anjou.

Une femme de 19 ans est décédée, hier vendredi vers 18 h 55, dans une collision entre trois voitures, à Saint-Denis-d'Anjou en Mayenne, sur la route départementale 27, reliant Saint-Denis-d'Anjou à Sablé (Sarthe).
Elle était originaire de Sceaux-d'Anjou (Maine-et-Loire). L'accident a également blessé une autre conductrice, âgée de 59 ans et originaire d'Avrillé (Maine-et-Loire). Elle a été transportée au Centre hospitalier universitaire d’Angers.

http://www.ouest-france.fr/faits-divers-une-angevine-decede-dans-un-accident-saint-denis-danjou-1880393

Accident mortel. Un mort et un blessé grave hier à Saint-Denis-d’Anjou

Il était 18 h 55 vendredi 24 janvier, quand trois véhicules légers sont entrés en collision. Dans l’accident, une personne est décédée, une autre a été gravement blessée et une troisième plus légèrement. Le blessé grave a été transporté au Centre hospitalier universitaire d’Angers et l’autre blessé à Sablé-sur-Sarthe (Sarthe).
D’importants moyens de secours ont été mobilisés, avec l’intervention des pompiers de Saint-Denis-d’Anjou, de Château-Gontier, de Sablé-sur-Sarthe (Sarthe) et de Morannes (Maine-et-Loire).

http://www.ouest-france.fr/surtitre/accident-mortel

vendredi 24 janvier 2014

Accident mortel sur l’A26 : le conducteur s’est-il endormi ?

Il était presque 7 heures, ce mercredi matin, lorsqu’un accident est survenu sur l’A26, à hauteur de Guignicourt, dans le sens Reims-Laon. Le conducteur d’un véhicule est venu s’encastrer dans le pilier en béton d’un pont. S’il a été grièvement blessé, son passager a été tué sur le coup. Selon les premières constatations des gendarmes, une faute d’inattention ou un assoupissement pourrait être à l’origine du drame. Aucune trace de freinage n’a été décelée sur la chaussée. La voiture est venue taper le pilier à 2 mètres de haut. En fait, le véhicule a mordu le bas-côté, avant de monter sur la glissière de sécurité située sous le pont. Sous la violence du choc, le moteur et la boîte de vitesses ont été projetés sur le bitume. L’homme qui était au volant est âgé de 25 ans, et est originaire d’une commune proche de Nancy. Le passager qui est décédé des suites du choc avait 50 ans et résidait lui aussi à proximité de Nancy. Des dépistages d’alcool et de stupéfiants ont été réalisés. Hier soir, les forces de l’ordre n’avaient pas encore les résultats de ces analyses. Les deux victimes ont dû être désincarcérées par les sapeurs-pompiers de l’Aisne et de la Marne. Dès 7 heures, la circulation a été fortement perturbée.

Un bouchon de 3 km

Les automobilistes ont d’abord utilisé une seule voie, avant que l’autoroute ne soit coupée. À 10 heures, un bouchon de 3 kilomètres s’était formé. Les membres de la Sanef, les gendarmes des pelotons autoroutiers de Reims et Laon, ainsi que six motards de la brigade motorisée de Laon, ont mis en place une déviation. À hauteur de Guignicourt, les conducteurs ont été orientés vers d’autres axes routiers. Le blessé a été transporté au centre hospitalier de Reims. Il a dû subir une opération chirurgicale hier après-midi. Même s’il a été touché au niveau de l’abdomen, il semblerait que ses jours ne soient pas en danger.

http://www.lunion.presse.fr/region/video-accident-mortel-sur-l-a26-le-conducteur-ia18b0n287194

Nice: un mort et 4 blessés dans une explosion

Un enfant, âgé de 3 ou 4 ans, est mort et quatre personnes ont été blessées ce matin dans une explosion survenue dans un appartement à Nice, selon les pompiers.

L'explosion, dont l'origine n'était pas connue dans l'immédiat mais est a priori "accidentelle", s'est produite à 10h18, occasionnant de gros dégâts dans un immeuble de plusieurs étages, selon les pompiers. La toiture a été soufflée et le bâtiment a perdu de larges pans de sa façade.

Parmi les quatre blessés, la mère de l'enfant, grièvement touchée, a été évacuée par hélicoptère. Deux voisins, qui vivaient à côté l'appartement soufflé, ont été légèrement atteints. "J'ai cru à un tremblement de terre, le souffle a été très important", a expliqué une autre voisine. Les sapeurs-pompiers ont déployé de gros moyens, 65 hommes en tout, avec des équipes cynophiles.

Selon le maire (UMP)
Christian Estrosi, qui s'est rendu sur place, les habitants des dix appartements de l'immeuble sont en cours de relogement.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/01/24/97001-20140124FILWWW00376-nice-un-mort-et-4-blesses-dans-une-explosion.php

Chambéry: Marisol Touraine évoque un cinquième décès suspect

L'hôpital de Chambéry compterait au total cinq décès suspects de nourrissons, avec un nouveau cas en décembre 2012, selon des déclarations aujourd'hui de Marisol Touraine.

Ce nouveau cas porte à cinq le nombre total de décès suspects de bébés à l'hôpital de Chambéry, après ceux déjà connus de Chloé, Théo et Milie en décembre 2013 et de Mattéo en mars 2013.

En outre, selon Marisol Touraine, "il n'y a pas de lien entre les pratiques de l'hôpital de Chambéry et la contamination des poches" même si des remarques peuvent être faites à l'hôpital "sur certains points de vigilance" comme les conditions de conservation ou le respect des dates limites. Elle a ajouté qu' "un accident de production isolé" chez
Marette, le laboratoire dont les poches de nutriments sont incriminées, semblait à ce jour "l'hypothèse la plus probable."


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/01/24/97001-20140124FILWWW00351-chambery-marisol-touraine-evoque-un-cinquieme-deces-suspect.php

Transport : un mort sur l'A6 et un accident grave à Lieusaint ..... EN DIRECT

Accidents, bouchons, travaux... Chaque matin, Leparisien.fr vous informe sur vos conditions de circulation à et dans les départements franciliens, ainsi que de l'état du trafic dans les transports en commun (, bus, RER, tramway).

Sur les routes

Seine-et-Marne. Un accident grave est en
sur la D50 à hauteur du rond-point de la Main verte à Lieusaint.
   Il met en cause un véhicule léger. La D50 est coupée dans les deux sens de circulation pour une durée indéterminée.

Seine-et-Marne, depuis 6h15. Un accident mortel est survenu ce matin sur l'A6 en direction de la province à hauteur de Fleury-en-Bière. Il implique deux voitures. Une personne est décédée l'autre est légèrement blessée. L'autoroute a été coupée pour permettre à un hélicoptère des secours de se poser pour évacuer les blessés, mais sa venue a finalement été annulée lorsque le blessé grave est décédé sur place. L'axe est rouvert, mais la circulation se fait uniquement sur la voie de gauche.

Paris, depuis 8h48. Accident sur le périphérique intérieur à Porte de Saint-Cloud.

Il y a actuellement 157 km de bouchons.


Suivez les évènements sur ce lien............ http://www.leparisien.fr/transports/

Loire. Face à face à Montrond-les-Bains : un automobiliste grièvement blessé

L’accident s’est produit ce jeudi vers 17 heures, en pleine ligne droite, sur la départementale 496. Pour l’heure les circonstances restent encore floues sur les causes de ce face à face qui a impliqué deux voitures : une Citroën Xsara et une Renault Clio.
La Citroën roulait en direction de Boisset, et la Clio dans celle de Montrond-les-Bains. D’après les témoignages, il semble que la Citroën se soit déportée sur sa gauche et ait percuté la Clio.
Si les deux retraités, habitant Boisset, à bord de la Xsara n’ont été que légèrement blessés, le jeune conducteur de la Renault a été plus gravement touché. Cet étudiant à Paris, qui réside dans le Haut Forez, a eu les jambes coincées sous les tôles de sa voiture

http://www.leprogres.fr/loire/2014/01/23/face-a-face-a-montrond-les-bains-un-automobiliste-grievement-blesse

jeudi 23 janvier 2014

Accusée d'infanticide, elle tente de se suicider

Une femme de 42 ans, hospitalisée à Troyes dans un état préoccupant, est soupçonnée d'avoir tué sa fille de 21 mois ce matin à Aix-en-Othe dans l'Aube avant de tenter de mettre fin à ses jours, a-t-on appris de source judiciaire.

Une enquête de flagrance pour homicide volontaire sur enfant de moins de 15 ans a été ouverte par le parquet de Troyes qui privilégie la thèse d'un drame familial. "Les premiers éléments laissent à penser que la fillette est décédée sous les coups portés par sa mère, qui a par la suite tenté de se suicider en s'ouvrant les veines", a-t-on précisé au parquet de Troyes, confirmant une information de la télévision locale Canal 32.

L'alerte a été donnée ce matin par les grands-parents de l'enfant, qui vivent à proximité du domicile de leur fille dans le village situé à 40 kilomètres à l'ouest de Troyes. La femme, connue pour des "difficultés psychologiques" et qui vivait seule avec sa fille, a été retrouvée inconsciente par les secours et transportée dans un état préoccupant à l'hôpital de Troyes.

L'autopsie de l'enfant a été programmée demain à l'institut médico-légal de Reims et une information judiciaire pourrait être ouverte dès "que l'état de sa mère permettra son audition par les enquêteurs", a-t-on ajouté au parquet.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/01/23/97001-20140123FILWWW00570-accusee-d-infanticide-elle-tente-de-se-suicider.php

Accident à Clans: un mort et trois blessés dont un grave

Une collision entre deux véhicules a fait un mort et trois blessés dont un grave ce mercredi soir à Clans dans la vallée de la Tinée
Une femme d'une quarantaine d'années et qui n'est pas identifiée a trouvé la mort dans une collision entre deux voitures sur le Rd 2205 à Clans ce mercredi soir.
Sa passagère, une adolescente est grièvement blessée. Deux autres blessés léger , un homme et son fils en bas âge , sont à déplorer dans l'autre véhicule.  Ils ont été pris en charge par les sapeurs-pompiers du groupement sud. Les circonstances de cet accident sont encore inconnues et les gendarmes sont sur place.

http://www.nicematin.com/saint-sauveur-sur-tinee/accident-a-clans-un-mort-et-trois-blesses-dont-un-grave.1593425.html

Limoux. Le rêve du jeune clandestin a fini au bout d'une corde

Hébergé au Foyer des jeunes travailleurs, Hala, jeune marocain de 16 ans, entré clandestinement en France s’est pendu. Une nouvelle vie pourtant se profilait.
Il ne parlait pas notre langue mais était venu en France, clandestinement, depuis le Maroc, attiré comme un grand nombre d’émigrés de cette partie du monde par le rêve ou le mirage d’une vie meilleure. Au bled, la France c’est l’Eldorado des Espagnols du XVIe siècle, l’Amérique du XXe d’Elia Kazan. Hala avait tout juste 16 ans.Dimanche, pour une raison qui demeurera ignorée et qui interpelle chaque fois qu’une personne se donne la mort, il s’est pendu au bout d’une corde ou d’une ceinture,dans la chambre qu’il occupait depuis plusieurs semaines au Foyer des jeunes Travailleurs de Limoux. Séparé par une cloison, à quelques mètres de ses camarades avec qui il rigolait la veille, ne laissant en rien présager son geste funeste. Accueilli en situation d’urgence, dès son arrivée dans l’Aude voici trois mois, il avait fait l’objet d’un suivi psychologique, puis placé de manière temporaire par le Procureur de la République et le Conseil Général de l’Aude au Foyer limouxin, au titre de mineur isolé. Une mesure de protection assurant sécurité matérielle et encadrement. En attendant que sa situation s’éclaircisse au terme de l’enquête judiciaire. Sans doute aurait-il été dirigé vers une filière d’intégration, un centre de formation pour mineurs, la délivrance plus tard d’un statut de résident. Au centre, les jeunes pensionnaires tout comme le personnel encadrant sont effondrés et ne comprennent pas. «C’était un garçon souriant, sociable, qui se débrouillait avec quelques mots d’espagnols et les gestes pour se faire comprendre, déplore M.Mascaraque, secrétaire général de la fédération des œuvres laiques, dont le foyer dépend. Il avait concocté récement une recette de son pays pour ses copains, sortait en bande faire les courses en ville. On le sentait impliqué et heureux. Tous les voyants étaient au vert. Mais nous savions aussi qu’il avait beaucoup souffert, vécu des choses terribles». Hala avait pourtant fait le plus dur, franchi la frontière clandestinement, dissimulé entre les essieux d’un camion selon un témoignage, bravant le danger au péril de sa jeune vie. Inexplicablement, celle-ci s’est arrêtée au moment où la promesse d’un nouvel horizon s’offrait à lui.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/01/23/1801084-limoux-reve-jeune-clandestin-fini-bout-corde.html

LOIRE. Saint-Etienne : un homme tué par un train au passage à niveau

Le drame s’est noué mercredi, aux alentours de 18h26. Selon les premiers éléments recueillis, alors que les barrières du passage à niveau de la rue Barroin étaient baissées, la victime se serait engagée sur la voie, un casque de musique vissé aux oreilles.

Le jeune homme aurait, selon les témoignages, entendu le train arriver, il aurait tourné la tête, mais trop tard. Il a été happé par le TER qui venait de Saint-Etienne et a été tué sur le coup. La piste du suicide a été tout de suite écartée par les enquêteurs. Un témoin du drame a étayé la thèse de l’accident.

Le conducteur du train et le contrôleur, choqués, ont été pris en charge par les pompiers. Le TER, qui se dirigeait vers Montbrison transportait trois usagers. Il est resté stationné sur la voie pendant plus de deux heures, interrompant le trafic sur cette liaison. Aux abords du passage à niveau, embouteillés par des véhicules de police aux gyrophares allumés et par des camions de pompiers, la circulation était là aussi perturbée. Le train est reparti aux alentours de 20h50.
L’identité de la victime n’était, mercredi soir, pas encore établie.


http://www.leprogres.fr/loire/2014/01/22/saint-etienne-un-homme-tue-par-un-train-au-passage-a-niveau

mercredi 22 janvier 2014

Ain. Un chauffeur de poids-lourd se tue à Chavannes-sur-Reyssouze

Ce mercredi vers 12h15, un poids-lourd qui circulait sur la départementale 2 a heurté un arbre sur le bord de la chaussée, à hauteur de Chavannes-sur-Reyssouze.
A l’arrivée des secours, le chauffeur, un homme de 47 ans, était en arrêt cardio-respiratoire. Il a été déclaré décédé par le médecin du SMUR.

http://www.leprogres.fr/ain/2014/01/22/un-chauffeur-de-poids-lourd-se-tue-a-chavannes-sur-reyssouze

Bordeaux : ivre, un homme se tue en tombant du premier étage

Un homme de 38 ans, résidant à Cergy (95) est décédé dans la nuit de lundi à mardi au CHU de Bordeaux, où il avait été hospitalisé quelques heures plus tôt. Vers 21 h 45, les pompiers et le Samu sont intervenus à l'hôtel Ibis, allée de Serr à Bordeaux-Bastide, pour porter secours à un client qui venait de chuter du premier étage. Cet homme, employé actuellement sur un chantier en Gironde, se trouvait dans la chambre avec un de ses collègues quand il a voulu semble-t-il récupérer un objet tombé sur le balcon. Les deux hommes avaient consommé de l'alcool et lorsqu'il s'est penché à la fenêtre, il a glissé et n'a pu se rattraper. Les policiers de la brigade des atteintes aux personnes de la Sûreté, chargés des investigations, ont confirmé l'hypothèse de l'accident.

http://www.sudouest.fr/2014/01/22/bordeaux-ivre-un-homme-se-tue-en-tombant-du-premier-etage-1437522-2780.php

L'A26 coupée après un accident mortel

On en sait plus sur l'accident qui s'est produit ce matin, à 6 h 50, sur l'A26 dans le sens Reims-Laon. Pour une raison qui reste à déterminer, un conducteur a perdu le contrôle de son véhicule (immatriculé dans la Somme) qui s'est encastré dans la pile d'un pont à hauteur de la route de Juvincourt. Sa passagère a été tuée sur le coup.
Grièvement blessé, le conducteur a dû être désincarcéré. Les pompiers ont mis deux heures à l'extraire de son véhicule, lequel a été littéralement pulvérisé par le choc.
Plus d'informations sur notre site dans la journée
Un seul véhicule serait en cause. Les secours sont sur place. D'après les premiers éléments d'informations, une personne aurait perdu la vie dans cet accident dont les circonstances ne sont pas encore connues.
L'autoroute est actuellement coupée dans le sens Reims-Laon. Un bouchon d'environ trois kilomètres est signalé par Bison Futé.
Si vous le pouvez, évitez ce secteur. Dans tous les cas, prudence sur la route.

A 10h30, l'accident est fini et la route a rouverte. 

Quatrième accident mortel

Il s'agit du quatrième accident mortel depuis le début de l'année sur les routes de Champagne-Ardenne. Pas plus tard que lundi, une femme a perdu la vieau volant de sa voiture à Vanault-les-Dames dans des circonstances qui restent encore floues. 

http://www.lunion.presse.fr/accueil/l-a26-coupee-apres-un-accident-mortel-ia0b0n286500

Accident mortel près d'Albertville: 14 personnes se trouvaient dans la navette

Trois jours après l'accident sur la 2X2 voies Albertville-Ugine, au cours duquel une jeune femme de 22 ans est morte après être tombée d'une navette, les auditions ont permis d'avancer sur les circonstances du drame
Selon le parquet d'Albertville, 14 personnes étaient à bord de la navette au moment de l'accident. Il y en avait 15 avant l'arrêt à Albertville. Une navette, affrétée par une discothèque, qui ne comptait officiellement que 9 places. La victime qui est tombée était debout, appuyée sur les portes arrières de ce Trafic. L'enquête doit aujourd'hui expliquer comment ces portes se sont ouvertes.

De son côté, le médecin légiste n'a pu déterminer si la jeune femme est morte de sa chute ou d'avoir été percutée par une voiture qui suivait. On ne le saura jamais. Les résultats des analyses d'alcoolémie et de toxicologie de l'ensemble des passagers sont attendus.

Le parquet fait aussi des recherches en matière de réglementation concernant ces navettes de plus en plus souvent proposées aux clients des discothèques. Aussi étonnant que cela puisse paraître, la législation est assez floue, elle dépend du type de véhicule, de la gratuité ou non du transport...



http://alpes.france3.fr/savoie

Mort comme une bête

Douze portes de garages. Un tapis. Un seul. Pour s’essuyer les pieds. Pas les pneus. Et garder, un peu, de dignité. Eric n’a plus de voiture. Il l’avait transformée en lit de voie publique mais un jour, la fourrière est passée et il n’a jamais eu les moyens d’aller la récupérer. Alors pour ne pas dormir dehors, il a opté pour le grand luxe, Eric.
À 49 ans, il était temps de profiter un peu de la vie, non ? Un F1 de 6 m². Avec vue sur cour. Et sans vis-à-vis. Si l’on excepte quelques regards derrière les rideaux de cet immeuble de quatre étages qui surplombe la rangée de garages. Un logement en cœur de ville, rue Louis-Bathou, à Saint-Max. Loyer mensuel : 40 €. À 200 m des voies du tram.

« J’ai un cœur gros comme ça, mais je n’ai plus personne »

Il ne prenait pas le tram, Eric. Il roulait. Sur son vélo. « Sa seule richesse matérielle avec son sac à dos. Il en était très fier de ce vélo », rapporte un riverain. Le sport à 49 ans ? Clopes et alcool, droit devant. Il fallait bien oublier sa vie au fond du garage. Oublier le froid. Oublier la solitude. Oublier que l’homme qu’il était vivait comme une bête.
« Il disposait d’un chauffage avec des bouteilles de gaz et dormait sous plusieurs couvertures. Parfois, il entrouvrait la porte du garage. Sans doute pour prévenir une potentielle intoxication », observe un Maxois.
« Quand il ne bricolait pas dans la cour après des palettes de bois, il pouvait passer la journée sur une chaise de bureau, dans son garage. Il répétait souvent : je suis un Ch’ti, j’ai un cœur gros comme ça mais je n’ai plus personne ». Son cœur lâchera. Sans quiconque pour le relancer. Eric, sera découvert lundi, sans vie, vers 13 h (notre édition d’hier). Par celle qui, un temps l’avait hébergé, pris sous son aile. Avant de le rejeter. Une septuagénaire. Dans le quartier, on explique que la voiture de la vieille dame a brûlé, on suppose des violences, on sous-entend des menaces.
Eric ? L’enquête sur les causes de sa mort – une autopsie doit avoir lieu jeudi – devra inexorablement explorer la relation qu’il entretenait avec cette retraitée. « Il y a environ un mois, il avait été pris en charge par les pompiers pour un souci de santé mais avait refusé d’être transporté à l’hôpital », se souvient un témoin qui, régulièrement, lui offrait des denrées alimentaires ou acceptait que le SDF recharge la batterie de son téléphone portable ou celle de sa lampe frontale. « Je lui avais dit qu’avec l’hiver, ce serait mieux qu’il trouve un hébergement. Mais il craignait la vie en foyer. On a dénoncé cette situation au propriétaire des garages ainsi qu’au maire. Mais rien n’a bougé. Il dormait depuis au moins un mois dans son garage. Même si la police municipale passait de temps en temps. Ces huit derniers jours, on ne le voyait plus, garage fermé. Je pensais qu’on lui avait trouvé une solution mais aujourd’hui, je crois qu’il était là, mort depuis plusieurs jours ».
Le bailleur qui a toujours perçu le loyer dans les temps, résiliera le bail. Pour forcer Eric à quitter sa tanière. La résiliation sera adressée en mairie, faute d’adresse et sur invitation du maire. « Je le connaissais bien, Eric », observe Eric Pensalfini, premier magistrat de Saint-Max. « On lui avait cherché du travail mais il n’a jamais réussi à raccrocher. On s’appelait par nos prénoms. Le CCAS a géré pas mal de choses pour lui et nous avions prévenu l’Accueil et réinsertion sociale (ARS) pour qu’on lui trouve un hébergement mais manifestement, il refusait cette voie-là. J’aimerais savoir de quoi il est mort ».

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/01/22/mort-comme-une-bete

mardi 21 janvier 2014

Suicide d’un salarié d’Orange à Paris, la CGT fait un lien avec le travail

La direction, elle, assure qu’elle était au courant des «difficultés» de ce salarié et que sa situation avait été «prise en compte»...
Un salarié d'Orange (ex-France Télécom) a mis fin à ses jours vendredi en se jetant sous un RER, a rapporté ce mardi la CGT Télécoms de Paris, qui le drame au travail. Dans un communiqué, la CGT informe que «vendredi matin, un salarié d'Orange a mis fin à ses jours en se jetant sous un train de la ligne A du RER».
La direction d'Orange a dit à l'AFP avoir été «informée dans la journée de vendredi du suicide de ce salarié». «C'est avec une grande tristesse que nous avons appris ce geste dramatique», a déclaré le groupe, précisant qu'une cellule de soutien avait été mise en place dès vendredi.

«Son management avait été alerté sur sa situation»

«Ce salarié semblait rencontrer des difficultés depuis quelques mois. Son management avait été alerté sur sa situation et l'avait prise en compte. D'ailleurs un rendez-vous devait avoir lieu ces prochains jours pour lui proposer des mesures d'accompagnement professionnelles et de soutien», a poursuivi Orange.
Une réunion extraordinaire du CHSCT a eu lieu lundi. «Une enquête va être lancée qui aura vocation à recueillir des faits et rechercher des éventuels liens avec le travail», a dit la direction.
Dans son communiqué, la CGT affirme que le geste du salarié «est une fois de plus la conséquence d'une organisation du travail maintes fois dénoncée». «une semaine avant le drame, les élu(e)s CGT avaient pourtant alerté la direction du mal-être de leur collègue et des tensions dans son unité depuis plusieurs mois», affirme le syndicat.

«L’entreprise renoue avec ses vieux démons»

«Après quelques temps d'accalmie, l'entreprise renoue avec ses vieux démons et sous prétexte d'une concurrence accrue et d'une baisse du chiffre d'affaires, met à nouveau la pression sur les salariés», dit la CGT.
France Télécom avait été marquée par une vague de 35 suicides en 2008 et 2009. Une enquête judiciaire avait été ouverte en avril 2010 après une plainte de SUD et un rapport de l'Inspection du travail mettant en cause la gestion du personnel.
Dans le cadre de cette enquête, l'ex-PDG Didier Lombard, deux autres responsables, et France Télécom en tant que personne morale ont été mis en examen pour harcèlement moral en juillet 2012.

http://www.20minutes.fr/societe/1277206-20140121-suicide-dun-salarie-dorange-a-paris-cgt-fait-lien-travail

Drame de Kuntzig : le chauffard circulait ivre et sans permis

Le propriétaire de la voiture qui a percuté le scooter d’une lycéenne âgée de 17 ans, décédée dans la soirée de samedi à Kuntzig près de Thionville, était bien au volant au moment de l’accident
Le parquet de Thionville a demandé l’ouverture d’une information judiciaire pour homicide involontaire aggravé, non-assistance à personne en danger et dénonciation de délit imaginaire à l’issue de la présentation du propriétaire de la voiture impliquée dans l’accident mortel de Kuntzig. L’homme, un Yussois âgé de 34 ans, conduisait sous l’emprise d’un état alcoolique et de produits stupéfiants, sans permis de conduire, au moment où s’est produit l’accident qui a coûté la vie à une lycéenne de 17 ans qui rentrait chez elle en scooter.

http://www.republicain-lorrain.fr/actualite

Accident à Vanault-les-Dames : l'automobiliste est décédée

Pour des raisons encore inconnues, une automobiliste a perdu le contrôle de son véhicule lundi soir.

Sa voiture est sortie de la route et a fini sa course dans un champ.

La conductrice a fait un arrêt cardio-respiratoire et les efforts des secours - pompiers et SMUR - n’ont pas permis de la réanimer.
 

Trois accidents mortels en 21 jours

 
C'est le troisième accident mortel depuis le début de l'année. 
 
Le 3 janvier, un homme qui poussait son scooter sur le bord de la route a été fauché mortellement. Le conducteur de la voiture ne l'aurait pas vu. L'autre accident mortel s'est produit le 8 janvier. Jean-Pierre Duchesne, 61 ans, dirigeant de l'entreprise givetoise GPM étiquettes se tuait au volant de sa Laguna

http://www.lunion.presse.fr/accueil/accident-a-vanault-les-dames-l-automobiliste-est-decedee-ia0b0n285881

Saint-Max (54) : un SDF retrouvé mort dans le garage qu’il louait

Un homme âgé de 59 ans, a été découvert sans vie, hier vers 13 h, dans un garage de l’agglomération de Nancy, à Saint-Max, rue Louis-Barthou. La police s’est déplacée sur les lieux de la macabre découverte pour mettre en place le traditionnel protocole (prélèvements, photos…) en cas de découverte de corps. Qui plus est dans de telles conditions. Un médecin légiste dépêché sur place a émis un obstacle médico-légal et le corps devrait être autopsié afin de tenter de déterminer l’origine du décès.
Les premiers éléments de l’enquête ne laissent pas entrevoir, pour l’heure, d’hypothèse criminelle. Il semble que la victime ait été hébergée un temps chez un riverain avant qu’elle ne se cantonne dans ce garage loué à un propriétaire depuis environ un an. « Je lui avais loué pour qu’il y entrepose du matériel. Il a toujours payé son loyer », explique ce propriétaire dont la pancarte « garages à louer » trône encore sur place. « Certains riverains ont constaté qu’il y allait dormir de plus en plus souvent. Je crois que le locataire d’un autre garage a déposé plainte pour faire bouger les choses. De mon côté, j’ai été plusieurs fois en contact avec la mairie sur ce sujet afin qu’on trouve, l’hiver arrivant, une solution d’hébergement en foyer mais il refusait. J’ai donc résilié le bail et faute d’adresse, j’ai envoyé la résiliation en marie, sur conseil de la marie. Non, personne ne m’a alerté de son décès ». Contacté hier soir, le maire n’a pas donné suite.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/01/21/un-sdf-retrouve-mort-dans-le-garage-qu-il-louait

L'A6 en partie coupée après 2 accidents dont un mortel

L'autoroute A6 était coupée cette nuit dans le sens Lyon-Paris à hauteur en Saône-et-Loire après un accident mortel, tandis qu'une autre coupure partielle avait lieu en Côte-d'Or dans le sens Paris-Lyon après un autre accident.

Vers 0H45, un conducteur de poids lourd a perdu le contrôle de son véhicule à hauteur de Farges-les-Mâcon (Saône-et-Loire) et s'est couché sur la chaussée, selon la même source. Le chauffeur, dont l'âge et l'identité n'ont pas pu être précisés dans l'immédiat, est décédé dans l'accident. L'autoroute a été coupée dans le sens Lyon-Paris, générant peu avant 2H un bouchon de 1 km, selon Bison futé.

Un autre accident impliquant un poids lourd mais n'ayant pas fait de blessé, était également signalé par Bison futé dans le sens Paris-Lyon à Vieux-Château (Côte-d'Or). Des voies ont été neutralisées et un itinéraire de délestage a été mis en place à hauteur d'Avallon (Côte-d'Or). Un bouchon de 3 km était constaté.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/01/21/97001-20140121FILWWW00148-l-a6-en-partie-coupee-apres-2-accidents.php

lundi 20 janvier 2014

Sortie de route : un blessé grave à Cernay

Un Mulhousien a été grièvement blessé ce lundi, vers 4h45, dans un accident de la route survenu route d'Aspach à hauteur du rondpoint dit de Saint-André, à Cernay.

L'homme a perdu le contrôle de son véhicule, un Ford Pick-up qui est allé tout droit percuter la glissière de sécurité avant d'effectuer des tonneaux. Sous la violence du choc, le véhicule s'est retrouvé en contrebas de la chaussée au niveau d'un passage pour piéton
souterrain qui traverse la nationale. Le toit du véhicule a été éventré.

C'est un cycliste de passage qui a chuté sur une branche qui a donné l'alerte en découvrant le véhicule accidenté.

Sous les ordres du chef de groupe le capitaine Emmanuel Munnier, les pompiers de Cernay-Wittelsheim, un infirmier pompier de Thann et le Samu ont porté secours à l'automobiliste grièvement blessé à la tête. Il a été transporté à l'hôpital Emile Muller de Mulhouse, sous assistance médicale.

Les gendarmes se sont rendus sur place pour les constatations.


http://www.lalsace.fr/actualite/2014/01/20/sortie-de-route-un-blesse-grave-a-cernay