mardi 31 décembre 2013

Décès d'un bébé à la maternité de Port-Royal

Une enquête aurait été ouverte après le décès, le 20 décembre, d'une petite fille à la maternité parisienne de Port-Royal, rapporte ce soir le Parisien. Selon le quotidien, la mère avait été hospitalisé le veille en urgences.

Le décès de la petite fille se serait produit lors de l'accouchement par césarienne. «Une enquête est bien en cours mais nous ne souhaitons pas en dire plus pour le moment» a indiqué une source proche de la direction de l'Assistance-Publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP).


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/12/31/97001-20131231FILWWW00367-deces-d-un-bebe-a-la-maternite-de-port-royal.php

Drame dans les P.-O. : "Ils sont partis tous les trois parce qu’ils s’aimaient"

Un couple et un adolescent ont été retrouvés morts chez eux à Rasiguères, un petit village des Fenouillèdes, dans les Pyrénées-Orientales. Selon des écrits laissés derrière eux, ils auraient mis fin à leurs jours.
 

Un couple et un adolescent malade de 16 ans ont été retrouvés morts, lundi, dans leur maison incendiée du village de Rasiguères, dans les  Pyrénées-Orientales, où ils se seraient immolés par le feu après avoir laissé une lettre annonçant leur suicide.
Les pompiers, alertés pour l’incendie de la maison de deux étages, ont découvert à l’intérieur les corps des trois habitants : Edmond Delonca, 70 ans, soigné pour un cancer, sa compagne Myriam, 43 ans, et le fils de cette dernière, un adolescent de 16 ans qui souffrait de la maladie de Gilles de la Tourette, trouble neurologique caractérisé par des tics très handicapants. Le logement était fermé de l’intérieur et des meubles avaient été poussés contre les portes.


Un courrier signé par les trois
"Ils ont laissé un courrier manuscrit expliquant qu’ils avaient décidé de mettre fin à leurs jours, qu’ils avaient agi en toute liberté, qu’ils souhaitaient partir tous les trois ensemble parce qu’ils s’aimaient", a déclaré le procureur adjoint de Perpignan, Luc-André Lenormand, qui s’est rendu sur place. Cet écrit avait été "signé par les trois personnes".
Les victimes s’étaient "apparemment aspergées d’un liquide inflammable, une sorte de pétrole pour poêle domestique vendu en grandes surfaces". "Pourquoi se sont-ils immolés ? Ils ne l’expliquent pas", a dit le magistrat.
L'homme souffrait d'un cancer
Cependant, l’homme, gérant de la grotte des Grandes Canalettes (lire ci-dessous) "souffrait d’un cancer qui s’était propagé rapidement. Sa compagne était également sa tutrice", a précisé le procureur adjoint.
Les corps calcinés ont été transportés à l’Institut médico-légal de Montpellier en vue d’une autopsie, qui devra conforter ou non la thèse du suicide familial. Il est "trop tôt pour dire qui a agi" en répandant notamment le liquide inflammable, a souligné le magistrat.
Leurs dernières volontés couchées sur le papier
Les cartes nationales d’identité des deux adultes et de l’adolescent avaient été laissées en évidence sur un meuble à l’entrée, de façon à ce qu’il n’y ait "aucun doute sur la volonté des personnes". "Un autre écrit avait été rédigé par traitement de texte, précisant les dispositions à prendre suite aux décès : les dernières volontés, la musique pour la messe, la couleur des fleurs à acheter", a mentionné le magistrat.
Les corps des adultes ont été découverts dans la chambre de l’homme et de la femme au premier étage. Le corps de l’adolescent a été découvert dans une autre chambre sous les combles de leur maison, située en plein cœur de ce village pittoresque construit à flanc de colline. Beaucoup de liquide inflammable a été retrouvé devant l’entrée de la chambre des adultes et dans une autre pièce adjacente, selon les premiers éléments de l’enquête.
"La population est bouleversée", a simplement commenté le maire du village de 160 habitants, Roger Chebille. Le maire avait lui-même alerté les pompiers. L’incendie avait débuté vers 10 h et les pompiers étaient intervenus avec une quarantaine d’hommes.

http://www.midilibre.fr/2013/12/31/ils-sont-partis-tous-les-trois-parce-qu-ils-s-aimaient,802886.php

Une femme tombe du sixième étage à Arcachon

Une femme de 55 ans est décédée ce mardi matin vers 8 h 20 à Arcachon. Les secours ont en effet été appelés pour un suicide par précipitation dans le vide.
Les faits se sont déroulés boulevard du général Leclerc. Tombée du sixième étage d'un immeuble, la quinquagénaire est décédée en chutant lourdement sur le bitume.

http://www.sudouest.fr/2013/12/31/une-femme-tombe-du-sixieme-etage-a-arcachon-1416716-2733.php

Accident de tramway à Saint-Denis : la fillette décédée

Une fillette de 5 ans est décédée ce week-end après un accident de tramway à Saint-Denis, en région parisienne, assure lundi le Parisien. Deux sœurs, âgées de 27 et 38 ans, ainsi que les enfants de l'une d'elles, un garçon de 11 ans et la fillette décédée, avaient été victimes samedi vers 20 heures d'une violente collision entre leur voiture et un tramway de la ligne T1 à la station Cosmonautes entre les communes de Saint-Denis et La Courneuve, en Seine-Saint-Denis. La voiture aurait fait brusquement demi-tours avant de percuter le tramway. L'enquête se poursuit.

http://www.lejdd.fr/Societe/Faits-divers/Depeches/Accident-de-tramway-a-Saint-Denis-la-fillette-decedee-646238

lundi 30 décembre 2013

Crash d'un hélicoptère en Gironde : la recherche des corps pourrait s'arrêter mardi

L'ancien propriétaire du château de La Rivière, James Grégoire, le nouveau propriétaire Lam Kok, et Peng Wang, le directeur général du groupe Brilliant en France, sont toujours portés disparus. Seul le corps de Shun Yu Kok, le fils de 12 ans, avait été retrouvé vendredi 20 décembre au soir du crash de l'hélicoptère piloté par l'ancien maître des lieux.
Il y a tout juste une semaine, la carcasse de l'hélicoptère a été extraite de la Dordogne au port du Petit Chartron à Lugon.
Les sonars, qui sondent les fonds et quadrillaient la zone du crash depuis le 22 décembre, ont permis de retrouver d'autres éléments et débris de l'appareil plus loin dans les eaux de la Dordogne. D'autres objets ont été jetés à l'eau pour que puisse être noté et analysé comment et jusqu'où ils dérivent ou se coincent, ceci afin d'espérer localiser les corps toujours introuvables.
Les recherches continuent donc dans une zone de plus de 20 kilomètres en amont et en aval du lieu du drame. Gendarmes et pompiers ont déployé de gros moyens. Malgré la boue, la température de l'eau, l'opacité de la rivière, les marées, le temps qui passe. Les recherches pourraient s'arrêter demain mardi.

http://www.sudouest.fr/2013/12/30/drame-du-chateau-la-riviere-la-recherche-des-corps-se-poursuit-1415893-3250.php

Quarouble : collision entre deux véhicules, une mère et sa fille de 13 ans sérieusement blessées

Alors que la conductrice d’une Fiat effectuait un demi-tour rue Marcelin-Berthelot, à la frontière entre Onnaing et Quarouble, ce dimanche vers 19h15, un Scénic, roulant dans le sens Onnaing-Quarouble l’a percutée côté conducteur. Ce dernier n’aurait pas eu le temps de s’arrêter. À l’intérieur de la Fiat, une adulte et trois enfants. Dans le Scénic, trois adultes.
Sur les sept impliqués (quatre adultes et trois enfants) dans l’accident, six ont été transportés au centre hospitalier de Valenciennes. Il aura fallu plus d’une heure aux sapeurs-pompiers venus des casernes d’Onnaing et de Valenciennes pour désincarcérer la conductrice de la Fiat qui était dimanche soir dans un état jugé sérieux ainsi que l’un de ses enfants, une jeune fille, âgée de 13 ans.

La circulation a été coupée sur cet axe le temps de l’intervention des secours. Ils étaient 21 sapeurs-pompiers sur place, supportés par deux véhicules du SMUR.

http://www.lavoixdunord.fr/region/quarouble-collision-entre-deux-vehicules-une-mere-et-ia27b36938n1814303

Un incendie fait 3 morts dans les Pyrénées-Orientales

Trois personnes ont péri lundi matin dans l'incendie d'une maison du village de Rasiguères, dans les Pyrénées-Orientales, où une quarantaine de pompiers sont intervenus pour maîtriser le feu, a-t-on appris auprès des secours.
"Le feu est en voie d'être maîtrisé. Il a fait trois victimes. Nous ne disposons pas d'informations sur l'origine du sinistre", a déclaré un porte-parole du Centre opérationnel départemental d'incendie et de secours (Codis). Les pompiers ont fait état de "trois morts", "a priori deux adultes et un mineur".
L'incendie a débuté vers 10 heures dans une maison de deux étages, dans le centre du petit village qui compte environ 150 habitants. Il a touché le premier et le second étage. Un témoin avait alerté les pompiers qui sont intervenus avec une quarantaine d'hommes et plusieurs véhicules.

http://www.lejdd.fr/Societe/Faits-divers/Depeches/Rasigueres-un-incendie-fait-3-morts-646140

Boussens. Un motard tué dans une collision frontale

Une semaine après la terrible série noire au cours de laquelle sept personnes ont été tuées sur les routes de la Haute-Garonne en cinq jours, un homme de 28 ans est mort hier dans une collision frontale à Boussens, au Nord-Est de Saint-Gaudens. Le drame s’est produit vers 16 heures, sur la RD 817. Pour une raison qui reste à déterminer un motard a percuté de plein fouet une voiture avec plusieurs personnes à bord. Lors du choc, le pilote du deux-roues a été violemment éjecté. Deux hélicoptères du Samu se sont rendus sur les lieux ainsi que les pompiers. Durant plus d’une demi-heure les médecins ont tout tenté pour réanimer la victime mais en vain. Le motard dont l’identité n’était pas connue a succombé à ses graves blessures. Deux personnes ont été transportées au CHU Purpan par hélicoptère. Quatre autres blessés ont été transportés par ambulance vers l’hôpital de Saint-Gaudens. Ce nouveau drame porte à 47 le nombre de tués sur les routes du département depuis le début de l’année 2013.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/12/30/1784960-boussens-un-motard-tue-dans-une-collision-frontale.html

Un homme de 47 ans tué dans un accident de chasse dans le Gard

Un homme de 47 ans a été tué accidentellement dimanche après-midi par un de ses partenaires de chasse dans la forêt de Saint-Jean-de-Valériscle (canton de Saint-Ambroix), petit village du Gard au Nord d'Alès, a-t-on appris auprès des gendarmes.
L'auteur du tir a trébuché et le coup est parti malencontreusement, blessant la victime à l'abdomen. Le quadragénaire est décédé peu de temps après l'arrivée des secours.
L'auteur du tir a trébuché et le coup est parti malencontreusement


Le chasseur a été placé en garde à vue, tandis que les enquêteurs poursuivaient dans la soirée leurs constatations sur les lieux du drame.

http://www.midilibre.fr/2013/12/29/un-homme-de-47-ans-tue-dans-un-accident-de-chasse-dans-le-gard,802474.php

dimanche 29 décembre 2013

Un cycliste axonais décède renversé par une auto à Arry

Un dramatique accident s'est produit vendredi 27 décembre, à 17 h 30, à l'entrée de la commune d'Arry, près de Rue (80), à la hauteur du château d'eau. En pleine ligne droite, sur la D938 dans le sens Rue-Arry, un cycliste a été fauché par une automobiliste âgée de 43 ans. Il a été projeté sur le bas côté de la route.

Transporté au centre hospitalier d'Amiens-Nord dans un état grave, David Goupy, 42 ans et originaire de Coucy-le-Château-Auffrique (02), est décédé dans la soirée.

La victime ne portait pas d'équipements réfléchissants et aucun éclairage n'équipait son cycle ce soir là. Les dépistages réalisés sur la conductrice se sont révélés négatifs


http://www.courrier-picard.fr/region/un-cycliste-axonais-decede-renverse-par-une-auto-a-arry-ia0b0n276801

Carcassonne : un jeune homme de 26 ans décède après une chute à moto

Samedi soir, vers 21 h 40,  au croisement de la rue Antoine-Marty et de la rue Pierre-Germain, un jeune homme de 26 ans résidant quartier de la Trivalle, à Carcassonne, a perdu la vie après avoir fait une chute de moto. Il était en arrêt cardio-respiratoire à l'arrivée des secours et a été déclaré  décédé quelques minutes plus tard.
Vers minuit, un automobiliste s'est présenté spontanément au commissariat de Carcassonne, indiquant qu'il avait probablement heurté un deux roues, rue Antoine-Marty,  tandis qu'il introduisait une clé USB dans son autoradio. La police a d'ailleurs constaté un point d'impact sur sa voiture. L'homme a donc été placé en garde à vue, et s'y trouve encore à l'heure ou nous écrivons ces lignes. 

On apprenait, par ailleurs, ce dimanche matin, que la moto sur laquelle le jeune homme a trouvé la mort avait été volée, un quart d'heure avant l'accident, dans le secteur de la CPAM.

http://www.lindependant.fr/2013/12/29/carcassonne-un-jeune-homme-de-26-ans-decede-apres-une-chute-a-moto,1829780.php

Accidents à Bréchaumont et Spechbach-le-Bas ce matin

Deux accidents de la route se sont produits quasiment simultanément ce matin, vers 10 h, dans le Sundgau. Entre Bréchaumont et Traubach-le-Haut, sur la RD 32, un conducteur âgé d’une vingtaine d’années a perdu le contrôle de sa voiture dans une courbe et terminé sa course sur le toit dans un fossé.
Puis entre Spechbach-le-Bas et Aspach, sur la RD 466, une automobiliste âgée d’une quarantaine d’années a effectué une sortie de route et s’est retrouvée dans un champ inondé. Dans les deux cas, les automobilistes ne sont que légèrement blessés.

http://www.dna.fr/actualite/2013/12/29/accidents-a-brechaumont-et-spechbach-le-bas-ce-matin

Auch. Une blessée grave dans un choc frontal

La RN21 a été le théâtre d’un choc frontal spectaculaire entre deux véhicules, hier, vers 17 h 30. Roulant à hauteur des abattoirs, une femme de 65 ans se déporte sur la voie de gauche. Continuant sa manœuvre, elle se dirige droit vers un 4x4 regagnant le nord du département. Surpris, le pilote de la seconde voiture, âgé de 35 ans multiplie les appels de phare, décide de freiner et de s’immobiliser sur la route. «Je ne voulais pas aller sur le bas-côté car je savais qu’il y avait un fossé important», explique l’intéressé. La collision est violente. Si le pilote du véhicule heurté est sorti indemne de l’accident, la sexagénaire, elle, est grièvement blessée. Consciente à l’arrivée des secours, la conductrice, immatriculée dans le Gers, s’est plainte de douleurs au niveau des jambes. Désincarcérée par une dizaine de pompiers, la victime a été transportée vers le centre hospitalier d’Auch. Selon les premiers éléments de l’enquête, cette dernière aurait été prise d’un malaise. Une circulation en alternance et sur une seule voie a été mise en place, le temps de pouvoir dégager les véhicules.

Dijon : battu à mort pour une dispute dans l’ascenseur

Côte-d’Or. Un Dijonnais âgé de 20 ans a été mis en examen du chef d’homicide volontaire et incarcéré après la mort d’un handicapé âgé de 47 ans, le 21 décembre dernier.
L’affaire débute le samedi 21 décembre, lorsque le beau-fils d’un homme de 47 ans, handicapé et placé sous tutelle renforcée, alerte la police : il vient de découvrir son beau-père inanimé dans son lit, dans un appartement situé au 13e étage d’une tour du quartier de la Fontaine-d’Ouche, à Dijon.
À leur arrivée, les policiers de la sécurité publique et les secours constatent que l’homme est décédé depuis plusieurs heures.
Mais la victime semble porter des traces de coups. Aussi les policiers alertent-ils leurs collègues du service régional de l’identité judiciaire, spécialisés dans les scènes de crime, et le magistrat de permanence au parquet de Dijon ordonne-t-il une autopsie du corps du quadragénaire.
Le dimanche 22 décembre, l’autopsie pratiquée à l’institut médico-légal de Dijon révèle que l’homme est mort des suites d’une avalanche de coups, portés au visage et au niveau des côtes : cinq sont fracturées et l’une d’entre elles a perforé un poumon, ce qui a entraîné sa mort, qui serait survenue vers 4 heures du matin. Les enquêteurs de la direction interrégionale de police judiciaire de Dijon sont saisis du dossier.
Premier acte d’enquête : remonter le temps. Ils interrogent familles, voisins, connaissances, s’enquièrent de ses habitudes dans le quartier, pour apprendre que la veille de sa mort le quadragénaire présentait déjà des traces de coups très importantes au niveau du visage. Mais il n’avait dit à personne qui l’avait frappé, évoquant simplement une dispute au sein de son immeuble. Les investigations se concentraient alors sur la tour de 14 étages située au numéro 1 de l’allée de la Source, où demeurait la victime.

Deux hommes dans un appartement prêté

Et en entendant un à un les riverains, les enquêteurs de la PJ ont appris qu’une altercation s’était déroulée dans l’ascenseur, au niveau du 11e étage, la veille de la mort du handicapé. Or, au 11e étage, habitaient depuis peu deux hommes auxquels un propriétaire, parti temporairement dans le sud de la France, avait prêté son appartement. Deux hommes dont l’un n’était plus apparu depuis le jour de l’altercation… À force d’insistance et de recoupements, les enquêteurs sont parvenus à apprendre que le «disparu» était celui qui avait eu une altercation avec la victime et qu’il lui avait porté des coups, pour une sombre histoire de bousculade avec un vélo et de mauvais regard dans l’ascenseur. Le signalement de l’occupant de l’appartement et ses points de chute probables étaient diffusés à toutes les patrouilles de police, et le 25 décembre, quatre jours après le début de l’enquête, les gardiens de la paix de la BAC (brigade anticriminalité) interpellaient au centre-ville un Dijonnais de 20 ans, déjà connu pour des faits de violence. Le jeune homme était conduit au commissariat central et immédiatement placé en garde à vue dans les locaux de la section criminelle de la police judiciaire.

Mis en examen pour homicide volontaire et incarcéré

On ignorait vendredi s’il avait reconnu durant son audition être l’auteur des coups, mais il a été présenté vers 15 heures au parquet de Dijon, puis conduit devant le juge des libertés et de la détention. Il a été mis en examen du chef d’homicide volontaire et écroué à la maison d’arrêt de Dijon.
Vendredi dans la soirée, M. Bas, vice-procureur de la République, confirmait que « la victime est décédée des suites de coups portés avec une violence importante ayant perforé un poumon », et qu’« une information judiciaire a été ouverte ».
À la police judiciaire, on se refusait à tout commentaire sur l’affaire.
Pour un mauvais regard dans l’ascenseur
 

samedi 28 décembre 2013

Thouars : la rixe tourne au drame, un mort dans le centre ancien

Une altercation a viré au drame dans la nuit de vendredi à samedi au 37, rue de la Trémoïlle, dans le centre ancien de Thouars. Un homme de 25 ans a perdu la vie, succombant à ses blessures.
Les faits se sont déroulés peu avant 2h du matin, samedi 28 décembre. Une altercation a opposé au moins deux hommes, âgés de 18 et 25 ans, dans un appartement situé au 37, rue de la Trémoïlle, dans le centre ville ancien de Thouars, à un jet de pierre de la place Saint-Médard.
L'altercation s'est transformée en rixe, et la rixe en drame puisque l'homme de 25 ans a trouvé la mort, succombant à ses blessures malgré l'intervention des pompiers, appelés à 1h55 du matin.
La police scientifique sur les lieux
La police s'est rendue sur place pour ouvrir rapidement l'enquête. En début de matinée, des agents spécialisés de la police technique et scientifique, vêtus notamment de gants et de combinaisons, ont également investi les lieux à la recherche d'indices.
Le maire Patrice Pineau, tenu au courant durant la nuit, se veut résolument prudent, dans l'attente de nouveaux éléments d'information. "C'est un véritable drame de perdre la vie dans ces circonstances, a-t-il confié. Cela peut hélas se produire partout."

http://www.lanouvellerepublique.fr/Toute-zone/Actualite/Faits-divers-justice

Les images de l'incendie à Lomme - 28/12

LA CLUSAZ. Pronostic vital toujours engagé pour les deux skieurs emportés dans une avalanche

L’homme, âgé de 33 ans, et une femme de 38 ans avaient été emportés vendredi, vers 11 heures au sommet de Torchère à 2 200 m d’altitude, par une coulée de 100 mètres de large en secteur hors-pistes, provoquée par le groupe de 5 à 6 skieurs dont ils faisaient partie.
Au total, plus de 50 personnes ont été mobilisées pour ces secours: pisteurs secouristes de La Clusaz, les sapeurs-pompiers, gendarmes, PGHM, 3 équipes cynophiles, moniteurs de ski, le secours en montagne...
Après de premiers soins sur place, les deux skieurs ont été transportés en hélicoptère médicalisé à l’hôpital d’Annecy dans un état «d’urgence absolue», selon la gendarmerie.
La préfecture de Haute-Savoie a précisé samedi matin qu’il n’y avait pas de nouveaux éléments concernant leur état.
La journée de vendredi a été meurtrière dans les Alpes françaises où les avalanches ont tué deux personnes, un jeune de 16 ans à Serre-Chevalier (Hautes-Alpes) et un gardien de refuge de 43 ans à Courchevel (Savoie).
Auparavant, jeudi matin, une avalanche avait provoqué la mort d’un jeune homme de 18 ans à La Plagne (Savoie). Pris en charge par les secours, il avait été hospitalisé à Grenoble où il est décédé jeudi soir.
La préfecture des Hautes-Alpes a rappelé samedi ses consignes de sécurité concernant un fort risque d’avalanche, le manteau neigeux demeurant fragile.
«Le risque d’avalanches spontanées ou déclenchées par le passage d’un skieur ou randonneur, pour le week-end du 28 et 29 décembre reste fort (niveau 4 sur 5) sur l’ensemble des massifs des Hautes-Alpes», a souligné le préfet des Hautes-Alpes dans un communiqué.
Il appelle «à la plus grande prudence en montagne et déconseille fortement toute sortie hors-pistes».

http://www.leprogres.fr/france-monde/2013/12/28/la-clusaz-pronostic-vital-toujours-engage-pour-les-deux-skieurs-emportes-dans-une-avalanche

Un camion transportant du gaz prend feu

Un camion transportant des bouteilles de gaz a pris feu samedi matin à Lomme (Nord), près de Lille, et l'incendie s'est propagé à quatre habitations, a-t-on appris auprès des pompiers, qui ont précisé que cinq autres maisons ont été endommagées. "Il y a eu une personne blessée très légèrement et on a 26 impliqués, c'est-à-dire des gens qui étaient là mais qui ne sont pas blessés", selon les pompiers du Nord.


"On a été appelé à 6h44 pour un feu de camion, un camion chargé d'une cinquantaine de bouteilles de gaz, du gaz à usage d'habitation. Il y a eu une propagation (du feu) sur quatre habitations. On n'a pas entendu parler d'explosion, juste de propagation. On ne sait pas exactement" ce qu'il s'est passé, ont ajouté les pompiers. De son côté, France 3 évoque "sept à huit explosions très impressionnantes selon les témoins."
 

HAUTE VIENNE. Limoges: Un couple de piétons fauché sur l’A20 par un poids lourd

Un couple de piétons, qui circulait sur la bande d’arrêt d’urgence de l’A20, près de Limoges, suite à une panne d’essence, a été percuté par un poids lourd, tuant une femme de 70 ans.
D’après des témoins, les deux victimes, qui se seraient arrêtées en raison d’une panne d’essence peu après 20H30, se trouvaient sur la bande d’arrêt d’urgence, sans signalement, lorsqu’ils ont été percutés par un poids lourd.
Le femme, très gravement atteinte «est décédée sur place peu de temps après l’arrivée des secours», selon les pompiers, tandis que l’homme qui l’accompagnait a été «très grièvement blessé aux membres inférieurs».
L’homme, dont l’âge n’est pas connu, a été transporté au CHU de Limoges, son pronostic vital n’est pas engagé, selon la même source.
Le chauffeur du poids-lourd, quoique choqué, n’a été que légèrement touché. Il a pu être pris en charge sur place.
L’accident a perturbé la circulation et entraîné la fermeture d’une voie dans le sens sud-nord, «mais tout devrait rentrer dans l’ordre dans les prochaines heures».

http://www.leprogres.fr/france-monde/2013/12/28/limoges-un-couple-de-pietons-fauche-sur-l-a20-par-un-poids-lourd

vendredi 27 décembre 2013

Spectaculaire accident sur la A5 à Marolles-sur-Seine

La conductrice d’une Xsara, qui circulait ce vendredi en début d’après-midi sur la A5 en direction de la province, a fait une série de tonneaux à la hauteur de Marolles-sur-Seine. Une perte de contrôle dont on ignore pour le moment les causes. L’accident a fait deux blessés : la conductrice âgée de 27 ans d’Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine) et son passager de 27 ans également, domicilié au même endroit.
L’autoroute a été coupée près d’une demi-heure le temps d’évacuer par hélicoptère la jeune femme, grièvement blessée, vers un hôpital parisien. Le second blessé a été transporté sur l’hôpital de Montereau.

http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/spectaculaire-accident-sur-la-a5-a-marolles-sur-seine-27-12-2013-3444097.php

Perpignan : un père menace de s'immoler pour "protéger" son enfant

En plein désarroi, l'homme s'est finalement laissé convaincre par les négociateurs de mettre un terme à son action hier aux alentours de midi à St-Charles.
Le message d'alerte est tombé hier vers 9 h 30. Un homme s'était retranché dans son poids-lourd stationné sur un parking proche du marché de gros sur la zone Saint-Charles à Perpignan. Désespéré, il menaçait de s'immoler par le feu, caché derrière les rideaux tirés de la cabine du camion qui ne laissaient apparaître sur le tableau de bord qu'un gros jerrican rempli d'une vingtaine de litres d'essence. Aussitôt, une dizaine de sapeurs-pompiers ont été appelés à intervenir sur les lieux ainsi qu'une quinzaine de policiers de la sûreté départementale et du service de sécurité de proximité, sous les ordres du responsable de la sûreté Fabrice Kozdeba et du directeur départemental adjoint Xavier Laffitte.

Les forces de l'ordre ont verrouillé aussitôt le secteur et mis en place un périmètre de sécurité au moment où le procureur de la République adjoint, M. Bruno Albouy, arrivait sur place en urgence. Celui-ci a rapidement établi le contact avec l'intéressé par la fenêtre conducteur tandis qu'un officier de la brigade des mineurs, parvenait à monter à bord du camion et à s'installer sur le siège passager de l'autre côté. De là, s'engageaient plus de deux longues heures de négociations. L'homme livrait alors tout son désarroi et toute sa tristesse. Selon les premiers éléments, il serait chauffeur routier et en instance de divorce, son épouse ayant la garde de leur fils de 8 ans, lui un droit de visite et d'hébergement.
Suspicion de maltraitance
Or, hier matin, il aurait refusé de ramener son enfant à sa mère, car le petit lui aurait dénoncé voilà quelque temps des faits de maltraitance dont il serait la victime de la part de sa mère et du nouveau compagnon de celle-ci. Des plaintes ont en effet été enregistrées au mois de novembre et l'enquête débutait. Mais le père, à bout, aurait décidé de faire accélérer les choses et de pousser un cri d'alarme hier pour attirer l'attention sur la nécessité de prendre en compte la parole de son fils et de le 'protéger'.
Avant de mettre ses menaces à exécution et d'aller se poster sur le parking, il aurait laissé son enfant dans un entrepôt tout proche. Le petit garçon a été recueilli par les personnels de l'entreprise puis remis aux services de police. Au bout d'une heure, la situation paraissait toujours bloquée et partait vraisemblablement pour durer une partie de la journée. Auquel cas, il avait même été envisagé par la préfecture de faire intervenir une unité d'élite.
Mais, fort heureusement, la discussion a finalement permis de tout dénouer. Vers midi, un policier a saisi le bidon d'essence et l'a emporté pour écarter le danger. Quelques minutes plus tard, le magistrat du parquet et le policier de la brigade des mineurs réussissaient à convaincre l'homme de mettre fin à son action. Il a été conduit jusqu'au commissariat afin d'être entendu sur ses menaces (même si elles ne sont pas délictuelles et qu'il n'a blessé personne) et surtout sur les accusations qu'il porte concernant son fils. Il a été relâché tandis que la procédure se poursuit.

http://www.lindependant.fr/2013/12/27/il-menace-de-s-immoler-pour-proteger-son-enfant,1828944.php

Un nouveau suicide en prison

CHÂLONS-EN-CHAMPAGNE (51). Incarcéré au mois de juillet dernier après avoir été condamné pour des faits d’agression sexuelle, un homme de 51 ans s’est pendu dans sa cellule, le soir du Réveillon de Noël, à l’aide d’une ceinture.
C’est le troisième suicide à la maison d’arrêt de Châlons-en-Champagne depuis le début de l’année.
Alain Heim, un détenu de 51 ans, a mis fin à ses jours, le soir du réveillon de Noël, en se pendant au rebord de son lit superposé, au moyen d’une ceinture, alors que les cinq autres occupants de sa cellule dormaient profondément.
Son corps sans vie a été découvert par un personnel de l’administration pénitentiaire, aux alentours d’une heure du matin, lequel effectuait une ronde de nuit à travers l’œilleton des geôles.

Deux précédents en 2013 à la maison d’arrêt

L’homme était écroué depuis le mois de juillet dernier, pour des faits d’agression sexuelle.
Selon nos informations, celui-ci avait déploré peu de temps avant son passage à l’acte, le refus d’une permission qui devait lui permettre de passer les fêtes de Noël avec ses enfants.
Avant lui, deux autres détenus avaient trouvé la mort, en 2013, dans des circonstances similaires, lors de leur incarcération.
Le premier d’entre eux, Luciano Puylaurent, 30 ans, s’était, lui aussi, pendu dans sa cellule, le 25 juillet dernier. Il avait été placé derrière les barreaux après avoir été condamné pour des faits de violence sur conjoint et menaces de mort.
Plus récemment, le deuxième, condamné par la Cour d’Assises de la Marne pour infanticide, avait mis fin à ses jours de la même manière, le 28 septembre, à l’aide du cordon d’alimentation de son poste radio.
Dix jours plus tôt, Abdelkader Zenguel, 34 ans, avait été condamné à 30 ans de réclusion criminelle pour le meurtre de son fils de quatre ans, en juillet 2011.

Pas un suicide en 2012

Un verdict dont son avocat avait interjeté appel, au cours des jours précédant son suicide.
L’année 2013 s’achève donc de façon dramatique à la maison d’arrêt de Châlons-en-Champagne, contrairement à l’année précédente. En 2012, aucun suicide n’avait, en effet, été à déplorer dans l’enceinte de l’établissement carcéral.

http://www.lunion.presse.fr/region/un-nouveau-suicide-en-prison-ia18b0n273699

Meuse : tué par un arbre

Un affouagiste de 69 ans est mort, tué par un arbre ce jeudi après midi en Meuse. Le tronc qu'il coupait s'est brutalement fendu. 
L'accident s'est produit vers 14 h 45 sur une parcelle située à Fains-Véel, non loin de Bar-le-Duc. L'arbre que le sexagénaire était en train de couper a éclaté. A l'arivée des secours, la victime était en arrêt cardio-respiratoire.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/12/26/meuse-tue-par-un-arbre

jeudi 26 décembre 2013

Deux morts dans une collision frontale à Fos

Une collision frontale entre deux voitures a fait deux morts - une mère et son fils adolescent - et un blessé grave aux abords de la commune de Fos (Haute-Garonne) jeudi après-midi, a-t-on appris auprès de la gendarmerie. L'accident s'est produit vers 15H15 sur la RN125, alors que les conditions de circulation étaient rendues très difficiles par d'importantes chutes de neige, a précisé la mairie de Fos, contactée par un correspondant de l'AFP.
D'après les premiers éléments recueillis par les gendarmes, la mère de famille, qui venait de doubler trois véhicules, n'est pas parvenue à se rabattre dans sa file, percutant de plein fouet un véhicule qui roulait en sens inverse

http://www.lejdd.fr/Societe/Faits-divers/Depeches/Deux-morts-dans-une-collision-frontale-a-Fos-645601

Nord : trois personnes dont deux enfants meurent dans un incendie

Deux enfants, de 2 et 5 ans, et une femme sont morts intoxiqués dans l'incendie de leur logement, à Hellemmes, dans le Nord.

Une grand-mère et ses deux petits-enfants sont morts vraisemblablement intoxiqués dans l'incendie jeudi après-midi d'un logement à Hellemmes, dans le Nord. Selon les pompiers, la grand-mère et ses deux petits-enfants étaient déjà inconscients à l'arrivée des secours, appelés sur place pour un départ d'incendie. Les deux enfants étaient âgés de deux et cinq ans, selon le maire d'Hellemmes, Frédéric Marchand.
"Il y a eu un départ d'incendie, éteint sans propagation aux maisons voisines, mais le gros de l'intervention s'est porté sur la réanimation des deux enfants et de la grand-mère", sans succès, ont précisé les pompiers. Les deux parents des enfants, légèrement blessés, ont été transportés à l'hôpital. Les causes de l'incendie étaient incertaines, jeudi en début de soirée. "Visiblement, ce serait un problème d'origine électrique, mais on n'en sait pas plus pour l'instant", a déclaré le maire d'Hellemmes.
 

Fillette de 11 ans abandonnée à Reichshoffen, en Alsace : la maman a mis fin à ses jours

Nos confrères de L'Est Républicain, à Verdun dans la Meuse, révèlent que la maman qui avait abandonné sa fillette de 11 a mis fin à ses jours dans la nuit de Noël.
La mère s’est défenestrée le 24 décembre dans la soirée. Ce sont les voisins et autres résidents de son immeuble de trois étages qui ont découvert son corps et ont prévenu les secours, écrivent nos confrères de l'Est Républicain. (cliquer ici)

Ce dernier, qui ne veut pas s’en occuper, avaient prévenu les gendarmes. L’enfant, tremblante, avait été emmenée à la gendarmerie, avant d’être placée dans un foyer à Strasbourg pour y passer la nuit.
Les gendarmes alsaciens ont essayé de contacter la mère pour l’entendre sur les faits. En vain. Finalement, le parquet de Strasbourg s’était dessaisi de l’affaire au profit de celui de Verdun. La mère devait être poursuivie pour délaissement de mineure.

http://www.dna.fr/actualite/2013/12/26/la-mere-a-mis-fin-a-ses-jours

Paris. Un feu de matelas à l'origine de l'incendie qui a fait deux morts

Un "feu de matelas" est à l'origine de l'incendie survenu dans un immeuble parisien mercredi matin, qui a causé la mort d'une deuxième victime.

Transportée à l'hôpital, une victime dont le pronostic vital était engagé a succombé à ses blessures, ont indiqué les pompiers. Le premier homme décédé et cette femme formaient un couple de retraités. Plusieurs autres blessés légers ont été pris en charge après avoir été intoxiqués par la fumée.

Deux appartements touchés

"Un feu de matelas au sixième étage est à l'origine du sinistre", a précisé le maire du XIIIe arrondissement Jérôme Coumet (PS). Seuls les habitants des logements en dessous du 6e étage ont pu retourner dans leurs appartements. Les six autres familles sont allées à l'hôtel ou chez des proches.
L'incendie s'est propagé par la cage d'escalier et a touché deux appartements aux 6e et 9e étages de l'immeuble situé 180 rue de Tolbiac. Une enquête est ouverte. Les secours avaient été appelés vers 04 h 00 mercredi pour un feu, éteint deux heures et demie plus tard. Les pompiers avaient précisé avoir procédé à trois sauvetages et "mis en sécurité" 11 personnes

http://www.ouest-france.fr/paris-un-feu-de-matelas-lorigine-de-lincendie-qui-fait-deux-morts-1821609

Accident mortel sur la D951 le soir de Noël

La soirée de Noël a été marquée par un terrible accident, qui s’est produit sur la D 951 à hauteur de la commune de Talus-Saint-Prix.
Aux alentours de 17 heures, mardi, un automobiliste seul à bord de son véhicule circule en direction d’Épernay et perd le contrôle de celui-ci. Après avoir fait plusieurs tonneaux, la voiture a fini sa course sur le bas-côté de la route départementale.

Des rafales de vent particulièrement violentes


À l’arrivée des sapeurs-pompiers de Sézanne et de Montmort-Lucy, le conducteur est retrouvé inconscient. Sur place, les proches de la victime sont effondrés. Le conducteur est alors transféré en urgence à l’hôpital de Reims. Mais ses blessures sont trop graves, l’homme décédera peu après 22 heures.

Selon les gendarmes de Montmirail, également présents à Talus-Saint-Prix, l’accident serait dû aux mauvaises conditions météorologiques de mardi. «  Avec la pluie, la chaussée était glissante, et les rafales de vent ont été particulièrement violentes  », soulignent-ils.
Quant à la victime, c’est un jeune homme âgé de 20 ans, originaire des Essarts-les-Sézanne. Depuis le début de l’année, il était en alternance du côté de Béziers (Hérault) où il apprenait le métier de cuisinier. Pour célébrer les fêtes de fin d’année, il était de retour dans la Marne. Mais hélas, ce tragique accident a endeuillé une famille entière

http://www.lunion.presse.fr/accueil/accident-mortel-sur-la-d951-le-soir-de-noel-ia0b0n273407

Malaise mortel sur la route

Esprels. Hier après-midi, aux alentours de 16 h 45, un octogénaire a trouvé la mort au volant de sa voiture, suite à un malaise survenu alors qu’il conduisait.
Accompagné de son épouse, âgée elle aussi de 83 ans, l’homme venait de quitter le village d’Esprels, et se rendait en direction de Marast, après avoir passé le repas de Noël en compagnie de ses proches.
En rentrant à son domicile, dans la commune de Roye, il a fait un malaise avant de quitter la route et de finir sa course sur le bas-côté, visiblement à faible allure.
Déployés sur place, les pompiers de Vesoul, de Lure, d’Esprels et de Villersexel ont tenté en vain de le réanimer. L’homme est décédé quelques minutes plus tard, des suites de son malaise. Son épouse a été immédiatement transférée à l’hôpital de Lure pour examen.
Aucun tiers n’a par ailleurs été impliqué dans l’accident.
Les gendarmes de la communauté de brigades de Vesoul se sont également rendus sur les lieux afin de sécuriser le périmètre.
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http://www.estrepublicain.fr/haute-saone/2013/12/26/malaise-mortel-sur-la-route

Aude : quatre blessés dans un choc frontal

L'accident, impliquant deux véhicules, s'est produit vers 12 h 15 ce mercredi à la sortie de Trèbes. Quatre blessés, dont une grand-mère de 60 ans et son petit-fils de 24 mois ainsi que deux Trébéens de 25 ans, sont à déplorer dans ce choc frontal.
Nous avons certainement échappé à un véritable drame en ce jour de Noël. Ce mercredi, il était en effet 12 h 15, lorsque le centre d'appel du service départemental de secours et d'incendie (Sdis) de l'Aude a été alerté suite à un accident de la circulation, impliquant deux voitures, qui venait de se produire à la sortie de Trèbes, en direction de Marseillette.
Une des voitures a fini dans une vigne


Très rapidement, les pompiers de Trèbes, Lézignan, Capendu et Carcassonne ont été mobilisés sur cette intervention. Où il a fallu désincarcérer une femme de 60 ans et son petits-fils de 24 mois, - des Narbonnais -, dont la voiture a fini sa course dans une vigne. Dans l'autre véhicule, une Renault Clio, deux Trébéens de 25 ans ont également été secourus et pris en charge. Blessés à des degrés divers, sans qu'il n'y ait d'inquiétude sur leur état de santé, les quatre victimes ont été transportées au centre hospitalier de Carcassonne.
Dépistage d'alcoolémie négatif
Sur les circonstances exactes de ce choc frontal, une enquête est actuellement menée par les gendarmes de Trèbes. Selon nos informations, aucun des conducteurs impliqués dans cet accident n'a été contrôlé positif au dépistage d'alcoolémie effectué. 


http://www.midilibre.fr/2013/12/25/aude-quatre-blesses-dans-un-choc-frontal-a-la-sortie-de-trebes,801455.php

mercredi 25 décembre 2013

Un homme de 98 ans meurt en pleine messe à Meudon

 C’était sa dernière messe. Ce matin, un habitant de Meudon a perdu la vie en pleine célébration religieuse de Noël. Ce paroissien de 98 ans assistait à l’office de 11 heures quand il a été victime d’un malaise cardiaque. Les secours sont intervenus mais n’ont pas pu le sauver, et l’octogénaire est décédé peu après.

http://www.leparisien.fr/hauts-de-seine-92/un-homme-de-98-ans-meurt-en-pleine-messe-a-meudon-25-12-2013-3439293.php

Fatigue mortelle : un chauffeur routier condamné à Nancy

La vie tient à peu de chose. L’accident qui s’est produit le 5 novembre 2012 sur la départementale qui relit Toul à Colombey-les-Belles, en est la dramatique illustration. Il est 18 h. Un routier rentre chez lui, à Chaumont, après avoir livré un chargement de bois au Luxembourg.
Il s’endort au volant à hauteur du village de Moutrot. Et son poids lourd percute de plein fouet un Renault Espace qui est devant lui, à l’arrêt, clignotant mis pour tourner à gauche. La voiture est projetée dans le fossé où elle s’écrase contre la sortie d’une canalisation en béton.
A bord du véhicule se trouvent un couple de retraités de Moutrot d’une soixantaine d’années et une de leur cousine âgée de 80 ans. Cette dernière ne survivra pas à ses blessures.
A la barre du tribunal de Nancy a ainsi comparu  le chauffeur routier de Chaumont qui a écopé de 7 mois de prison avec sursis

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2013/12/25/fatigue-mortelle

Perpignan : dix mois ferme pour avoir causé la mort d’un motard

Un jeune de 19 ans répondait mardi de l’accident mortel avec délit de fuite, survenu le 24 novembre à Espira-de-l’Agly.
"Je ne l’ai pas vu. Je n’ai pas compris ce qu’il se passait. J’ai ressenti un grand choc. J’ai pris peur. J’étais en panique. Tellement paniqué". Le jeune homme de 19 ans, jugé mardi en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel n’a pas pu fournir plus d’explications sur le drame qui s’est noué le 24 novembre dernier à Espira-de-l’Agly et a coûté la vie à Jean-Christophe Nguyen, 49 ans, un père de famille et professeur estimé du lycée Marillac à Perpignan.
Ce jour-là, le prévenu était passé chez sa concubine, puis chez sa mère. Il n’avait "pas vraiment le moral". Il était alors parti au supermarché pour s’acheter un pack de bières. Il en avait siroté trois et roulait sans réel but sur la RD 117 au volant de sa Citroën Xantia, qui n’était pas encore assurée, quand, vers 18 h, il a percuté une Harley-Davidson de 1942 qui circulait devant lui.


La moto s’est encastrée sous le capot de la voiture
Sous la violence extrême du choc, la moto s’est encastrée sous le capot de la voiture. Le pilote a été projeté à 76 m du point d’impact. Tué sur le coup. L’automobiliste, quant à lui, ne s’est arrêté que 313 m plus loin. Prenant aussitôt la fuite à travers les vignes, caché là toute la nuit, avant que son oncle ne réussisse à le convaincre de se rendre deux jours plus tard.
"Le seul souvenir que j’ai, c’est quand je suis descendu de la voiture, j’ai vu la moto accrochée à la voiture", lâche le jeune homme. Issu d’une famille de 7 frères et sœurs, il a arrêté l’école à 16 ans avec de grosses difficultés pour lire et écrire. Aujourd’hui sans emploi, il fait "un peu de ferraille" de temps en temps. Avec un casier judiciaire vierge. Et le permis de conduire décroché voilà 8 à 9 mois à peine. "Je suis profondément désolé de ce qu’il s’est passé. Je n’ai pas vu de feu à l’arrière de la moto".
Le président précise : "L’expertise n’a pas pu démontrer s’il y avait un phare et s’il marchait. Et, il est vrai, le casque du pilote était non homologué".
"Cet homme est dangereux parce qu’il n’a pas d’empathie. Il a avant tout cherché à sauver sa peau. Son manque d’humanité révolte les proches de la victime", a répliqué Me Calvet-Masenou, l’avocate des parties civiles. Plaidant au nom de la victime, un passionné de mécanique et d’histoire, qui a cultivé jusqu’au bout le devoir de mémoire et qui a trouvé la mort en revenant d’une commémoration en hommage aux juifs déportés.
Au nom de ses enfants, ses parents et son frère "en colère" mais aussi de son épouse, "sans haine", absente car "anesthésiée par le chagrin" après avoir perdu un mari, un frère et un neveu de 17 ans en l’espace de 14 mois. "Des larmes, il n’y en a plus".
"Il suffit d’un moment d’inattention"
"Personne n’est à l’abri. Il suffit d’un moment d’inattention, d’une faute. Mais il y en a qui se mettent volontairement en situation de danger", semble alors tempérer la magistrate du parquet, requérant finalement 30 mois de prison ferme et l’annulation du permis de conduire pendant 3 ans.
"Il n’avait aucune intention de masquer la réalité. C’est lui qui a dit qu’il avait bu. Et il s’est rendu. Je ne veux pas le déculpabiliser mais on ne peut pas faire abstraction des éléments du dossier. Le phare de la moto ne marchait pas", a encore rappelé Me Vachet pour la défense. Et de lire une lettre du prévenu, écrite pour lui par un codétenu. "Je demande pardon à la famille. Je prendrai et je purgerai ma peine sans jamais oublier ce qu’il s’est passé".
Le tribunal l’a condamné à 10 mois de prison ferme, à l’annulation de son permis de conduire pendant 2 ans et à 400 € d’amende pour le défaut d’assurance. Avec maintien en détention.

http://www.midilibre.fr/2013/12/25/dix-mois-ferme-pour-avoir-cause-la-mort-d-un-motard,801401.php

Interpellé pour des violences sur son ex, il se suicide en sortant du commissariat de Dieppe

Sombre affaire. De garde d’enfants et de violences conjugales. Vendredi 20 décembre 2013, vers 22h45, une habitante d’Arques-la-Bataille appelle la police de Dieppe : son ex-compagnon venait récupérer leurs enfants pour le week-end mais elle est arrivée en retard au rendez-vous et l’homme, âgé de 45 ans, se serait mis à la battre. Tellement fort que le médecin qui a examiné cette mère de famille lui a délivré « douze jours d’incapacité totale de travail », relatent nos confrères des Informations Dieppoises.

Il était convoqué devant le tribunal

Le suspect est donc interpellé et aussitôt placé en garde à vue, jusqu’au lendemain, samedi 21 décembre. Après ses interrogatoires par les gardiens de la paix, le quinquagénaire est remis en liberté. Toutefois, avec une convocation pour le 20 juin 2014 devant le tribunal correctionnel de Dieppe, afin de répondre de ces violences aggravées.
Dimanche 22 décembre, le père de famille sera retrouvé pendu aux abords des étangs de la Varenne, à Saint-Aubin-le-Cauf, dans la région dieppoise…


http://www.76actu.fr/c/faits-divers/

Incendie mortel à Paris

Un incendie dans un immeuble d'habitation a fait un mort et quatre blessés dont un très grave tôt mercredi matin à Paris. Les secours ont été appelés vers 04h et le feu était éteint deux heures et demie plus tard, a précisé le commandant Nathalie Crispin, porte-parole de la brigade de sapeurs-pompiers de Paris.
L'incendie, dont l'origine n'est pas connue pour l'instant, s'est propagé par la cage d'escalier et a touché deux appartements aux 6e et 9e étages de l'immeuble situé 180 rue de Tolbiac, dans le XIIIe arrondissement.
Les conditions dans lesquelles une personne est décédée n'ont pas été précisées. Le pronostic vital est engagé pour le blessé grave. Les blessés légers ont notamment été intoxiqués par la fumée.Les pompiers précisent avoir procédé à trois sauvetages et "mis en sécurité" 11 personnes. 93 sapeurs-pompiers et 30 engins sont intervenus sur le sinistre
 

Léaz: une victime désincarcérée et héliportée vers l’hôpital cantonal de Genève

C’est un choc d’une très grande violence qui s’est produit entre deux voitures peu après 14h30 ce mardi. L’accident s’est déroulé sur la RD1206, sur la commune de Léaz, pour une raison encore indéterminée à cette heure. Les pompiers du Pays de Gex et de Bellegarde sont intervenus en nombre, notamment parce qu’il a fallu procéder à la désincarcération d’un blessé grave.
Sévèrement touchée, la victime, qui circulait dans un véhicule immatriculé dans l’Ain, a été héliportée vers l’hôpital cantonal de Genève par un hélicoptère de la Rega, les secours suisses. Dans l’autre véhicule, immatriculé en Suisse, les occupants ont été également blessés, mais moins gravement.

Circulation coupée et déviation mise en place

La circulation sur la RD 1206 a été coupée pendant près de deux heures, le temps de procéder aux opérations de secours. Les gendarmes de la compagnie de Gex, notamment ceux de Thoiry ont mis en place des déviations via Châtillon-en-Michaille et la Haute-Savoie, puisqu’il n’y a guère d’autres alternatives pour relier le Pays de Gex à Bellegarde.
Dans ce secteur accidentogène, où la circulation est dense, la loi des séries joue à plein. En un peu moins de deux mois, c’est le troisième accident très grave, deux personnes ayant perdu la vie sur le pont Carnot depuis le 1er novembre...

http://www.ledauphine.com/ain/2013/12/24/accident-entre-deux-voitures-sur-la-rd1206

Gard rhodanien : un corps retrouvé au fond des concluses

Une femme de 35 ans s'est donné la mort en se jetant au fond des concluses de Lussan.
C’est un vététiste qui a donné l’alerte lundi en fin d’après-midi sur la commune de Lussan. Il venait de trouver un corps sans vie au fond des gorges. Il a fallu un vaste dispositif de secours et notamment les hommes du Grimp (groupe de reconnaissance et d’intervention en milieu périlleux) pour remonter la dépouille. Selon les premières constatations, il s’agit du corps d’une femme âgée de 35 ans environ. Les gendarmes de la compagnie de Bagnols dépêchés sur place ont ouvert une enquête afin de déterminer son identité et les causes de son décès. Il pourrait s’agir d’un suicide. La jeune femme, qui pourrait être originaire de la région montpelliéraine, se serait jetée 50 m plus bas.
Mais cette thèse reste à confirmer par les enquêteurs

http://www.midilibre.fr/2013/12/24/le-corps-d-une-jeune-femme-retrouve-au-fond-des-concluses,801162.php

accident mortel montagnes russes ames sensible s'abstenir

mardi 24 décembre 2013

Un homme se tue à Beauteville sur la route départementale

La route départementale 625 traverse Beauteville. Cette longue ligne droite permet de gagner Gardouche, au sud-est du département à quelques centaines de mètres de l’Aude. Hier les pompiers ont été appelés à 17 h 33 pour un accident. Une voiture roulait vers Gardouche quand son conducteur a perdu le contrôle de sa Volkswagen Golf. Le véhicule a heurté un platane. Un choc d’une violence inouï qui a totalement écrasé le véhicule et son conducteur. L’intervention rapide des pompiers venus de Villefranche de Lauragais mais également de Saint-Michel-de-Lanès, dans l’Aude, n’a pas permis d’entreprendre quoi que ce soit pour sauver l’homme au volant. Il a été tué sur le coup. Il se trouvait seul à bord. Hier soir son identité n’était pas connue. Les gendarmes de la compagnie de Villefranche-de-Lauragais ont ouvert une enquête pour déterminer les causes de ce drame de la route, le quatrième depuis vendredi.
Une effroyable série noire où en l’espace de 72 heures, cinq personnes ont trouvé la mort dans des accidents en Haute-Garonne. Quatre accidents, cinq morts alors que vendredi matin, à la veille des vacances de Noël, le préfet annonçait des contrôles renforcés et appelait à la prudence. Pourtant, il s’appuyait sur un bilan positif pour la sécurité routière avec 39 décès. Trop mais en net progrès. Un bilan désormais alourdi, trop alourdi.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/12/24/1781768-un-homme-se-tue-a-beauteville-sur-la-route-departementale.html

Calvados : un enfant tué dans l'effondrement d'une toiture

La côte atlantique subit actuellement une forte tempête. Selon BFMTV, un enfant a été tué par l'effondrement d'une toiture, blessant également grièvement un ouvrier. Un marin est porté disparu.
Selon une info BFMTV, dans le Calvados, une rafale de vent a soulevé la toiture d'une maison en rénovation, tuant un enfant de 12 ans et blessant gravement un ouvrier de 20 ans qui travaillait dessous. Un peu plus tôt dans la journée, c'est un marin qui a disparu en mer, au large de Brest. L'homme, de nationalité russe, est tombé à l'eau en raison des mauvaises conditions météorologiques, avec une houle de 6 à 7 mètres et des vents en rafales soufflant à près de 120 km/h, a-t-on appris auprès de la préfecture maritime de l'Atlantique. Il se trouvait à bord du Victoriaborg, un bâtiment immatriculé aux Pays-Bas, "en avarie de barre" à environ 220 km au nord-ouest de Brest. Un avion de surveillance maritime effectuait des recherches dans la zone depuis 18H00.
De très mauvaises conditions météo


Météo France a placé en vigilance orange "vents et vagues-submersion" les régions Bretagne, Haute et Basse Normandie et Nord-Pas-de-Calais, ainsi que les départements Loire-Atlantique, Mayenne et Somme. La vigilance est valable jusqu'à mardi 12H00. En dehors du nord-ouest, Météo France prévoit des vents violents dans le haut de la vallée du Rhône et l'ouest des Pyrénées. Neuf nouveaux départements ont été placés en vigilance orange: Ain, Côte-d'Or, Jura, Loire, Haute-Loire, Pyrénées-Atlantiques, Hautes-Pyrénées, Rhône et Saône-et-Loire. Dans ces régions, le vent continuera à souffler très fort mardi avec rafales pouvant atteindre 100 à 110 km/h.
Prudence sur terre et sur mer
Les cumuls de pluies deviendront conséquents sur l'ouest de la Bretagne (20 à 40 millimètres en 24 heures), selon Météo France qui prévient que le littoral du sud du Finistère et du Morbihan est menacé par de fortes vagues pouvant entraîner des submersions. Par chance, les coefficients de marée sont faibles: 58 par exemple à Quiberon (Morbihan) pour la pleine mer attendue à 20H08. Les autorités ont lancé des appels à la prudence, notamment à l'attention des automobilistes, invités à limiter leurs déplacements. Dans un communiqué, le ministère des Transports a rappelé la "nécessité de redoubler de prudence sur les routes et en mer, d'éviter de s'approcher des jetées dans les départements côtiers et de s'assurer du bon fonctionnement des transports collectifs avant d'entreprendre des déplacements".

http://www.midilibre.fr/2013/12/23/calvados-un-enfant-tue-dans-l-effondrement-d-une-toiture,801035.php

lundi 23 décembre 2013

Un mort dans la collision d'une voiture avec un TER dans l'Ain

L'accident s'est produit à un passage à niveau près de Bourg-en-Bresse, lundi après-midi. L'automobiliste, âgée de 63 ans, est décédée. Le trafic SNCF entre Bourg-en-Bresse et Genève ne devrait pas reprendre avant mardi matin.

Le train se rendait à Saint-Claude, dans le Jura.  Une automobiliste de 63 ans a trouvé la mort lundi lors d'une collision avec un TER à un passage à niveau, près de Bourg-en-Bresse, ont indiqué les pompiers.
La collision, survenue à 17h20 entre la voiture et un train régional express, n'a fait aucun blessé parmi les 32 passagers du train qui ont été pris en charge dans un magasin Renault-Trucks, proche de l'accident.
Le trafic SNCF a été interrompu, "vraisemblablement pour toute la nuit" entre Bourg-en-Bresse et Genève, ont ajouté les pompiers.
 

Couple abattu à Paris: des témoins racontent - 23/12

Abattu par son voisin pour une décoration de Noël à Aspremont

Ce dimanche soir, un homme de 69 ans a tiré sur son voisin et ami, du même âge que lui, pour un motif futile qui serait lié aux décorations de Noël. La victime a succombé à ses blessures peu après
Ils n'étaient pas seulement voisins, mais amis. Âgés de 69 ans tous les deux. Ils sont désormais séparés par la mort, mais liés par un terrible drame. Vers 18 h 30 hier, à Aspremont, Daniel P. a tiré sur Jean-Louis S. avec un pistolet de calibre 7.65. La victime a succombé une demi-heure plus tard, malgré les efforts désespérés des sapeurs-pompiers pour le ranimer.
Les circonstances du drame n'étaient pas encore établies hier soir. Mais les gendarmes privilégient à ce stade l'hypothèse d'une altercation pour un motif futile, sur fond d'alcoolémie avancée. Un différend qui a éclaté alors que Jean-Louis S. et Daniel P. préparaient les décorations de Noël dans la maison du second, au 232 vieux-chemin de Falicon. Et ce sont précisément ces décorations qui seraient à l'origine de la dispute.
Il revient faire feu
« Ah, mais on ne va pas rester là ! » Sur cette exclamation, Daniel P. se serait éloigné pour aller chercher une arme de poing, avant de revenir faire feu. Un seul coup aurait été tiré, selon les premières constatations. Suffisant toutefois pour avoir des conséquences létales.
Les pompiers ne pouvant plus rien pour le malheureux, un médecin-légiste est venu constater le décès. Entre-temps, les gendarmes de la compagnie de Nice sont intervenus pour appréhender le suspect. La brigade de recherches de Nice et le PSIG de Gilette ont investi les lieux, où les techniciens en investigation criminelle ont entrepris un méticuleux recueil d'éléments matériels, en présence de la procureure de permanence Clotilde Galy.
Témoins de la scène
Le test d'alcoolémie s'avérant positif, Daniel P. a été conduit à l'hôpital Saint-Roch à Nice afin de procéder à des examens toxicologiques. Si sa garde à vue avait d'ores et déjà débuté, il n'a pu être entendu hier soir, compte tenu de son état.
La scène s'est jouée en présence de plusieurs témoins, dont l'audition se prolongeait en soirée dans les locaux de la communauté de brigades de Carros. Des témoignages qui pourraient permettre d'élucider rapidement cette affaire d'homicide. Et, peut-être, d'accréditer un scénario aussi consternant que tragique.

http://www.nicematin.com/aspremont/abattu-par-son-voisin-pour-une-decoration-de-noel-a-aspremont.1561455.html

Gard : un mort et deux blessés graves dans un choc frontal

La collision entre deux voitures à Combas dans le Gard est survenue dimanche 22 décembre en fin de matinée.
A Combas, une collision frontale entre deux voitures a fait un mort et deux blessés graves, ce dimanche 22 décembre, en fin de matinée, sur la départementale 999 entre Nîmes et Quissac. Dans la première voiture, le conducteur, âgé de 33 ans, habitant de Logrian-Florian, malgré la prise en charge des secours, n'a pas survécu à ses blessures. Dans le second véhicule, un couple de quinquagénaires de Durfort, grièvement blessé,  a été secouru par les pompiers avant d'être transporté au CHU Carémeau de Nîmes.
Quinzaine de pompiers


Une quinzaine de sapeurs-pompiers venus de Sommières, Saint-Geniès-de-Malgoires, Nîmes et Lédignan ainsi qu'une équipe du Samu ont été mobilisés sur place. Les gendarmes de la brigade de Saint-Mamert-du-Gard, qui dépend de la compagnie d'Alès, mènent l'enquête. 

http://www.midilibre.fr/2013/12/22/montpezat-trois-blesses-dans-un-accident-de-la-route,800548.php

dimanche 22 décembre 2013

Savoie: Un skieur de 35 ans décède dans une avalanche

Il était équipé d'un détecteur de victime mais n'a pas pu être ranimé...
Un homme de 35 ans qui pratiquait le ski de randonnée est mort dimanche matin dans une avalanche survenue à 2.000 mètres d'altitude sur le domaine hors-piste de Pralognan-la-Vanoise, en Savoie, a-t-on appris auprès des secours en montagne.

>> Pour découvrir Falco, chien d'avalanche CRS, c'est par ici

La victime, originaire de Haute-Savoie, terminait un raid de trois jours en compagnie d'un ami lorsque qu'une avalanche s'est déclenchée, peu avant 11h30 au passage des deux hommes, l'emportant sur une centaine de mètres avant de l'ensevelir.
«Tous deux redescendaient du col d'Aussois, situé à 2.900 mètres d'altitude, en empruntant le Vallon des Prioux. La victime a été ensevelie sous un mètre de neige», ont précisé les secours. Equipé d'un détecteur de victimes d'avalanches, le Haut-Savoyard a pu être dégagé mais n'a pu être ranimé. Son compagnon est indemne.

http://www.20minutes.fr/societe/1266525-20131222-savoie-skieur-35-ans-decede-avalanche

Drame de la séparation à trois jours de Noël : un homme tente de se donner la mort devant la maison de ses beaux-parents.

Un homme de 28 ans  s’est tiré deux balles de revolver dans la région du cœur à Saint-André. Il a été transporté dans un état grave à l’hôpital de Saint-Benoît.
C’est un homme très affecté qui raconte aux journalistes : " je rentre des courses ce matin vers 10h et je le trouve allongé, baignant dans son sang... j'avais pourtant tout fait pour qu'ils soient heureux"
Il accueille dans la maison familiale depuis trois jours, sa fille en froid avec son mari, et sa petite fille de 6 ans.  Il ne s’attendait pas à un tel drame.
Son gendre de 28 ans qui habite le Tampon est venu ce matin voir sa femme et sa fille. Avec le gamine de 6 ans il repart en voiture acheter des fleurs.
C’est au retour, après avoir déposé sa fille à sa femme, qu’il décide de se donner la mort. Il tire deux fois et s’écroule devant le portail.
Les secours dépêchés sur place, le trouveront en vie. Il a été transporté à l’hôpital de Saint-Benoît dans un état grave.


http://reunion.la1ere.fr/2013/12/22/drame-de-la-separation-trois-jours-de-noel-un-homme-tente-de-se-donner-la-mort-devant-la-maison-de-ses-beaux-parents-95953.html

Un piéton fauché près de Chauny

Un homme de 40 ans a été tué vendredi soir dans l’Aisne, vers 19 heures, renversé par une voiture alors qu’il marchait dans l’obscurité en bordure de la D7, sur le territoire de la commune d’Ognes. Il arrivait de Chauny et se dirigeait vers Béthancourt-en-Vaux.
Arrivés sur place, les secours n’ont pu que constater le décès de Philippe Ployon, résidant depuis deux ans et demi au foyer de Béthancourt-en-Vaux. Cet établissement de l’association d’aide aux enfants inadaptés (AEI) est basé à Tergnier. Elle accueille des personnes en situation de handicap, travaillant en Établissement et service d’aide par le travail (ESAT) ou en milieu protégé. Philippe Ployon, qui vivait précédemment dans un cadre familial, avait intégré le foyer pour développer un projet d’indépendance et d’autonomie. Vendredi midi, il avait terminé sa semaine de travail au service espaces verts de l’ESAT de La Fère, dépendant de l’AEI, et il avait passé un moment à Chauny, où une navette du foyer de Béthancourt devait le récupérer place de l’hôtel de ville. « Quand nous ne l’avons pas vu où il aurait dû nous attendre, des recherches ont été entreprises », témoignait hier Christian Chevrier, directeur du foyer de Béthancourt. « Malheureusement, nous ne l’avons pas trouvé… C’est la première fois que nous sommes confrontés à un tel drame. »

http://www.lunion.presse.fr/accueil/un-pieton-fauche-pres-de-chauny-ia0b0n271910

Toulouse: deux jeune se tuent en deux roues

Deux adolescents ont trouvé la mort dans la nuit de samedi à dimanche près de Toulouse, lors d'une sortie de route de leur deux roues de 125 cm3, a-t-on appris auprès des pompiers et des gendarmes de Haute-Garonne.

Les pompiers ont été alertés vers 3h30, mais n'ont pu sauver les deux jeunes gens, qui selon les gendarmes avaient percuté un arbre à Rouffiac-Tolosan, à une dizaine de kilomètres de Toulouse sur la route d'Albi.

Les causes de l'accident, qui n'a pas eu de témoin, n'étaient pas connues dimanche matin.

Les secours remarquent cependant que les sorties nocturnes du samedi soir sont les plus génératrices d'accidents mortels, et soulignent que le danger était accru par le brouillard épais dans lequel baignait la région toulousaine au moment de l'accident


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/12/22/97001-20131222FILWWW00055-toulouse-deux-jeune-se-tuent-en-deux-roues.php

Accident de tram à La Courneuve : pronostic vital réservé pour les 4 blessés

Quatre personnes ont été gravement blessées samedi soir aux alentours de 20 heures lors d'un accident entre un tramway, qui a légèrement déraillé, et une voiture à La Courneuve. Leur pronostic vital est réservé.

Quatre personnes ont été gravement blessées samedi soir aux alentours de 20 heures lors d'un accident entre un tramway, qui a légèrement déraillé, et une voiture à La Courneuve. "L'accident s'est produit aux alentours de 20 heures. Les circonstances sont pour le moment indéterminées, mais il y aurait quatre blessés graves. Tous étaient passagers du véhicule", a indiqué cette source à l'AFP, précisant qu'une autre personne a également été blessée mais moins grièvement. Les quatre personnes ont dû être désincarcérées du véhicule avant d'être transportées vers un hôpital à proximité pour les adultes âgés d'une vingtaine d'années, à l'hôpital Necker pour les enfants, un garçon de 11 ans et une fillette de 4 ans.

Les pompiers ont bouclé les opérations de levage du tramway vers 1h00 du matin à la station Cosmonautes, entre les communes de Saint-Denis et La Courneuve. Un témoin, Mourad, 35 ans, qui n'a pas souhaité donner son nom de famille, a précisé à l'AFP que la rame avant du tramway avait déraillé. "La voiture est broyée", a-t-il dit, décrivant une polo blanche. Selon les premières constatations de la RATP, le coin avant droit de la rame a heurté le côté gauche du véhicule, ce qui a entraîné le déraillement du train. Le choc s'est produit à une intersection. La voiture roulait visiblement sur la voie parallèle au tracé du tramway et se serait déportée pour une raison inconnue, explique la RATP. Elle aurait ensuite été traînée sur une dizaine de mètres.
"Aucun élément ni témoignage ne nous montre pour le moment d'où arrivait le véhicule. Les images des caméras de surveillance à l'intérieur du tramway seront étudiées dans le cadre de l'enquête, mais il n'y a pas de vidéosurveillance dans cette rue", a précisé une source proche de l'enquête. Le conducteur du tramway était "choqué". Aucun voyageur n'a été blessé.
 

Accident entre un tram et une voiture à La Courneuve : 4 blessés graves

Quatre personnes ont été gravement blessées samedi soir aux alentours de 20 heures lors d'un accident entre un tramway, qui a légèrement déraillé, et une voiture à La Courneuve.

Quatre personnes ont été gravement blessées samedi soir aux alentours de 20 heures lors d'un accident entre un tramway, qui a légèrement déraillé, et une voiture à La Courneuve. "L'accident s'est produit aux alentours de 20 heures. Les circonstances sont pour le moment indéterminées mais il y aurait quatre blessés graves. Tous étaient passagers du véhicule", a indiqué cette source à l'AFP, précisant qu'une autre personne a également été blessée mais moins grièvement.

Les pompiers sont sur place et les opérations de levage du tramway étaient en cours dans la soirée à la station Cosmonautes, entre les communes de Saint-Denis et La Courneuve. Un témoin, Mourad, 35 ans, qui n'a pas souhaité donner son nom de famille, a précisé à l'AFP que la rame avant du tramway avait déraillé. "La voiture est broyée", a-t-il dit, décrivant une polo blanche. De très nombreuses voitures sont sur place, ainsi que des pompiers et le Samu. Le trafic de la ligne T1, entre Asnières-Gennevilliers Les Courtilles et Noisy-le-Sec RER a été interrompu, a précisé la source préfectorale.
 

samedi 21 décembre 2013

Oise : un corps calciné retrouvé aux étangs de Coye-la-Forêt

Un corps calciné a été retrouvé, ce samedi après-midi, aux étangs de Commelles, à Coye-la-Forêt (Oise). Il se trouvait à côté d’une voiture en flamme.

Les pompiers ont été appelés vers 13 heures pour le feu du véhicule, puis les gendarmes sont arrivés pour mener les premières investigations.
 
Le corps n’a pu être identifié dans l'immédiat.

La piste criminelle n’est pas écartée mais les enquêteurs semblent dans un premier temps privilégier la piste d’un . Le chemin de la Chaussée neuve, lieu de promenade où s’est déroulé le drame, a été bouclé par les forces de l’ordre.

http://www.leparisien.fr/oise-60/oise-un-corps-calcine-retrouve-aux-etangs-de-coye-la-foret-21-12-2013-3430535.php

Boulogne-sur-Mer : hommage à Adélaïde, noyée à Berck

Une quarantaine de personnes se sont rassemblées samedi au cimetière de Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais) pour rendre hommage à Adélaïde, la fillette de quinze mois noyée par sa mère à Berck. A l'initiative d'un comité de soutien à Adélaïde formé sur le réseau social Facebook, ces personnes ont lu une prière et déposé, sous une pluie battante, une plaque sur la tombe de l'enfant.
Des particuliers se sont cotisés pour acheter cette plaque représentant une fillette aux ailes d'ange et comportant la mention "Adélaïde, princesse de la plage". Clémence, 16 ans, a lu un message du comité de soutien: "Beaucoup de larmes de colère et de haine ont été versées mais aujourd'hui tu es là, dans ta nouvelle demeure. La dignité et le respect que tu méritais t'ont été rendus. Nous t'offrons cette jolie plaque en ta mémoire".
"Le comité a été créé pour ne pas oublier cette petite fille et continuer à la fleurir. Cette plaque, c'est toute la générosité des gens", a expliqué Christine, membre du comité de soutien. Une grande partie des personnes présentes sont venues depuis Berck dans un bus spécialement affrété.
Adélaïde, qui durant sa courte vie n'aura pas eu d'existence légale, faute d'avoir été inscrite à l'état civil, a été abandonnée par sa mère sur la plage de Berck-sur-Mer alors que la marée montait et a été retrouvée morte le 20 novembre. La mère, Fabienne Kabou, 36 ans, a reconnu s'être rendue de Saint-Mandé (Val-de-Marne) à Berck dans le but de noyer son enfant. Elle a été mise en examen pour assassinat et écrouée à Sequedin (Nord). Depuis l'inhumation d'Adélaïde dans le carré des indigents du cimetière de l'Ouest de Boulogne-sur-Mer, le 6 décembre, des particuliers ont afflué sur sa tombe pour y déposer couronnes et jouets. Face à l'émotion suscitée par l'affaire et l'enterrement d'Adélaïde en urgence, sous X, sans plaque ni pierre tombale, la mairie de Boulogne-sur-Mer a ensuite offert une sépulture "digne" à l'enfant, une dalle de marbre gris portant son prénom et sa date de décès.
Samedi, de nouvelles fleurs et peluches ont été déposées sur la tombe. On pouvait lire sur une couronne les mots suivants: "A notre petite étoile, mamans et papas de coeur". "Aujourd'hui, la petite Adélaïde existe aux yeux de tout le monde. A Berck, c'est dans la discussion des gens au quotidien", a commenté Sylvie, membre du comité.
 

Agen : un automobiliste tombe dans le canal

Une mauvaise expérience qu’avait connue en son temps Albert Ferrasse, quand, par un soir de décembre 2004, le dirigeant du rugby avait fini une traditionnelle partie de carte au fair-play, le nez de sa Mercedes dans le canal. Et c’est d’ailleurs non loin de l’endroit où Tonton avait été repêché et sauvé par un passant, que Marceau Lagarde a suivi la même trajectoire.
Hier, en milieu de matinée, cet automobiliste de 83 ans croisait au volant de sa Renault Clio dans le secteur de Donnefort à Agen quand, probablement gêné par le soleil, il a perdu le contrôle de sa voiture pour finir dans l’eau froide et trouble du bief.
« Je m’en sors bien »
« J’ai été ébloui. Je n’ai rien. Juste les pieds mouillés. Les gens me disaient de ne pas bouger, pour ne pas glisser plus. Ils m’ont sorti de là. Et les pompiers sont arrivés vite. Je m’en sors à bon compte… », témoignait hier soir, Marceau, héros malgré lui de la dernière version agenaise de Boudu tiré des eaux. Et quand l’Agenais parle « de gens », respecter la vérité impose d’attribuer le succès de ce sauvetage aux policiers et ouvriers d’un chantier voisin de l’accident.
Car à l’arrivée des pompiers, la victime était déjà sortie de son véhicule. Choquée, certainement, mais saine et sauve.
Quand ils ont vu la Clio faire un tout droit dans le bain à ce point où il n’y a pas de rail de sécurité, les ouvriers du chantier se sont précipités pour accrocher une sangle à leur camion et à l’essieu arrière de la Renault qui avait déjà les roues avant dans l’eau.
Une chaîne humaine
Mais le poids de l’auto commençait vraiment à l’attirer vers le fond. Alors à l’arrivée de la patrouille de police, une chaîne humaine s’est formée. Un fonctionnaire est monté sur les rochers pour s’approcher de la voiture, tenu par un collègue, lui-même tenu par un ouvrier, tenu par un passant et ainsi de suite.
Jusqu’à extraire enfin Marceau Lagarde de sa voiture qui était maintenant immergée jusqu’à la moitié du capot. Quant à son conducteur, comme il l’expliquait au téléphone hier soir, l’eau du canal commençait à lui chatouiller les mollets. De retour sur berge, l’octogénaire a été choyé en attendant l’arrivée de son fils, venu le récupérer pour le raccompagner à son domicile. Sa voiture a, elle, prit la direction de la casse.

http://www.sudouest.fr/2013/12/21/un-automobiliste-tombe-dans-le-canal-1408945-3603.php