De nombreux moyens ont été mobilisés. Mais quand les secours sont arrivés, le corps du jeune homme gisait à une centaine de mètres du passage à niveau. Morgan est l’un des deux témoins qui seront entendus par la police. Ses premières dépositions ont été prises à chaud. Il était dans sa voiture, de l’autre côté des barrières du passage à niveau, rue d’Armentières. Celles-ci étaient fermées pour laisser le passage à un train en provenance de Lille. Il a vu ce piéton passer sous les barrières de sécurité. Il a entendu le train klaxonner, et vu l’homme courir. Impossible de dire pour l’heure s’il s’est mis à courir pour sauver sa peau ou pour mettre fin à ses jours. L’hypothèse du suicide « n’est pas certaine » selon le commissariat d’Armentières.
Deux drames du même genre
L’homme n’a pas pu être identifié. La police n’a retrouvé aucun élément sur lui permettant de confirmer son identité. Personne n’a signalé sa disparition. Joëlle, qui habite une maison qui longe les voies, a tout entendu. « Je regardais la télévision, j’ai dit à mon fils
Une circulation fortement perturbée
Le train qui a percuté la victime est resté plus d’une heure trente bloqué sur les voies. Avec à son bord deux cent cinquante passagers. Tous les autres trains, entre Lille et Calais, étaient aussi à l’arrêt. La circulation a repris progressivement vers 19 h 30. Le conducteur du train, très choqué, a été remplacé par un collègue
http://www.lavoixdunord.fr/region/un-homme-happe-par-un-train-le-choc-a-erquinghem-lys-ia11b0n1502161
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