Âgée de 92 ans, la victime occupait l’une des 120 chambres de la résidence Orpéa, au quatrième étage. Le sac provenait de la poubelle de sa salle de bains.
L’enquête de la gendarmerie de Reims est toujours en cours – une autopsie est prévue cette semaine – mais tous les éléments actuellement recueillis par les spécialistes de l’identification criminelle vont dans le sens d’un suicide par asphyxie : aucune blessure apparente sur le corps, aucun désordre ni trace de lutte dans la chambre, aucun vol constaté, aucun bruit entendu par le voisinage, aucune effraction sur le bâtiment (si les chambres ne sont pas fermées à clef par mesure de sécurité, l’accès à la résidence, lui, est verrouillé la nuit).
La vieille dame n’était pas malade. En revanche, des problèmes personnels pourraient expliquer son geste.
Se donner la mort par asphyxie à l’aide d’un sac plastique peut paraître inconcevable, mais de tels suicides, hélas, existent, même s’ils sont peu fréquents. L’été dernier, un vieux monsi
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